mardi 21 février 2017

Nándor Hidegkuti, le genre idéal

"Métronome du Onze d’or hongrois distillant des amours de caviars pour Kocsis et Puskás, l’un des premiers neuf et demi de l'histoire s’est éteint il y a quasiment quinze ans le jour de la Saint-Valentin. Du MTK Budapest révolutionnaire de Bukovi au triplé lors du « match du siècle » en passant par une transfusion miracle et un film de propagande, le culte du « Vieux » également vainqueur de la Coupe des coupes avec la Fio et artisan de la résurrection d’Al-Ahly sur les bords du Nil a traversé les décennies.
« Hidegkuti a rendu son dernier souffle en février 2002, trois semaines avant son 80e anniversaire. Le deuil s’est propagé d’Óbuda à Berne, du boulevard Hungária à Florence, du Caire à Győr, partout sur la planète Terre. Le meneur de jeu légèrement reculé par rapport à la position classique du dix s’est ancré de lui-même dans un coin : celui du patrimoine mondial du football.  » En dépit de sa plume laudative, Iván Hegyi exagère à peine lorsqu'il rend hommage au gouvernail du Onze d’or huit ans après sa mort dans un supplément week-end du journal de gauche Népszabadság aujourd’hui disparu." La suite sur sofoot.com

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