mercredi 30 novembre 2016

Rosa Siffredi : Madame X

"Cette ex-Miss Hongrie, épouse de Rocco, hardeur majeur, a tourné avec lui avant de devenir la mère de ses enfants.
Voici l’histoire d’un amour particulier, de sa folie et de sa banalité, de sa longévité et de son évolution. On est à Cannes, au Festival, en 1993. Une jeune femme de 1,78 mètre, aux épaules de nageuse, à la décontraction aussi sombre que ses yeux et à la beauté saluée par le titre de Miss Hongrie descend du train. Elle a 21 ans, et vient faire hôtesse pour une société de production dont elle ne sait pas grand-chose. Sur le quai l’attend son employeur de l’instant. Il tient à la main le Polaroid envoyé comme demandé. Le grand type à la blondeur avantageuse est fasciné par cette photo qu’elle a faite sans y penser. Il est italien, a 29 ans, et affirme sa vigueur et son endurance dans un domaine assez particulier." La suite sur liberation.fr

Entre la France ou la Hongrie, le cœur de l'héroïne de «Double nationalité» balance

"ROMAN Prenez deux minutes pour savoir si «Double nationalité» de Nina Yargekov est le livre qu'il vous faut...
Tous les jours de la semaine, la rédaction de 20 Minutes ou ses lecteurs vous proposent une idée de roman à dévorer ou à offrir. Aujourd’hui, Double nationalité de Nina Yargekov chez P.O.L. (688 pages, 23,50€).
Une citation: «Vous marchez sur le boulevard Voltaire, quelle adresse française, quelle adresse éclairée, vous vous reconnaissez bien là, le choix de votre domicile est déjà un engagement pour la vérité et la justice (...)»
Pourquoi choisir ce livre?
Parce que l’idée de départ est excitante: une jeune femme frappée d’amnésie soudaine n’a que sa valise et son sac à main pour tenter de comprendre qui elle est. Mais ce n’est qu’un prétexte: toute sa vie est documentée dans son ordi, en deux clics et trente pages, c’est réglé." La suite sur 20minutes.fr

Hongrie: dix ans de prison pour un migrant qui avait forcé une barrière

"Avec des centaines d'autres personnes, il s'était heurté aux forces de l'ordre en septembre 2015. La justice a interprété le code pénal et l'a condamné pour terrorisme.
Le verdict est tombé comme un coup de massue. Ahmed Hamed, un citoyen syrien de 40 ans, a été condamné mercredi à dix ans de prison pour terrorisme par le tribunal de Szeged (sud de la Hongrie). Bien que la justice ait condamné des centaines de personnes pour «franchissement illégal de la frontière», c’est la sentence la plus lourde prononcée contre un réfugié depuis la crise migratoire qui a vu près d’un demi-million de personnes transiter par la Hongrie l’an dernier, en route vers l’Europe du Nord." La suite sur liberation.fr

Les socialistes hongrois se rallient à l’idée de primaires à gauche

"Le Parti socialiste hongrois (MSzP) a annoncé ce mercredi avoir adressé aux autres partis de gauche une proposition pour une primaire commune de l’opposition progressiste en vue des élections législatives de 2018.
La révolution de palais se poursuit chez les socialistes hongrois du MSzP. La nouvelle direction, issue du congrès de juin dernier, a décidé de tenter de rallier les partis de gauche au principe d’une primaire commune, d’ici les élections législatives prévues au printemps 2018. Selon des sources internes citées par Index.hu, le principal parti d’opposition a envoyé une invitation en ce sens à plusieurs organisations de gauche : Ensemble (Együtt, social-libéral), Dialogue (Párbeszéd, écologiste), MoMa (libéral) et à la Coalition démocratique (DK) du dissident socialiste Ferenc Gyurcsány. Le petit parti LMP, le Parti libéral (MLP) et le Parti de gauche (Balpárt) n’ont pas été destinataires de l’offre de rassemblement, en raison notamment du veto de DK et de désaccords stratégiques majeurs." La suite sur hu-lala.org

La Hongrie, un soir à l'Atelier

"Dans le cadre du Festival de l'Imaginaire organisé par la Maison des Cultures du monde, une troupe hongroise a donné un spectacle original d'après un poème de Ferenc Juhasz.
Lorsque l'on pénètre dans la belle salle du Théâtre de l'Atelier, on distingue les comédiens, nous tournant le dos, assis en demi-cercle sur le plateau
A l'orchestre, parmi des spectateurs dont beaucoup sont des Hongrois de Paris, on reconnaît Adonis, poète exceptionnel, nobélisable, et une autre forte personnalité, Valère Novarina.
C'est que cette troupe, le Théâtre de Beregszasz -la troupe est aujourd'hui installée à Budapest- a joué du Novarina en langue hongroise." La suite sur lefigaro.fr

Hongrie: taux de chômage tombe à un nouveau record

"Le taux de chômage en Hongrie a reculé à un nouveau plus bas à 4,7% de la population active pour la période allant d'août à octobre, après 4,9% durant la période précédente (juillet-septembre), a annoncé mardi le Bureau central des statistiques KSH.
Il y a un an, le taux de chômage hongrois s'était établi à 6,4%." Source : lefigaro.fr

Nina Yargekov, enfant de deux pays

"Avec Double nationalité, salué par le prix de Flore, la Franco-Hongroise Nina Yargekov livre une allégorie vertigineuse sur l'identité. C'est un roman-fleuve passionnant, phénoménal - 700 pages de quête autobiographique. Il faut s'y laisser engloutir, bercé par la langue iconoclaste et fantaisiste de son auteur, la romancière française d'origine hongroise Nina Yargekov, 36 ans, tout juste auréolée du prix de Flore.
Son héroïne, Rkvaa Nnoyeig, belle plante aux grands pieds, est amnésique. Que fait-elle dans cet aéroport? Que signi fient ses deux passeports, l'un français, l'autre yazige (de Yazigie, petit pays de l'Europe de l'Est)? Rkvaa fantasme: est-elle une prostituée venue chercher fortune en France? Ou agente secrète? Et pourquoi aime-t-elle tant Enrico Macias?" La suite sur lexpress.fr

 

C’est prouvé : votre chien se rappelle des faits marquants

"Un chien peut-il se rappeler d’évènements récents ? C’est la question étudiée par des scientifiques hongrois. 30millionsdamis.fr vous explique leurs conclusions.
« Alors, qu’as-tu fait aujourd’hui ? ». C’est la question à laquelle tous les maîtres rêvent d’avoir une réponse ! Il se trouve que les scientifiques aussi… Des chercheurs hongrois ont identifié officiellement un nouveau "type" de mémoire chez le chien : la mémoire "épisodique" (dont l'existence était jusque-là controversée), c'est-à-dire leur mémoire des évènements personnels et marquants situés dans un contexte temporel et spatial.

« Fais pareil que moi »
Pour réaliser l'étude publiée dans la très sérieuse revue américaine Current Biology (23/11/2016), 17 chiens de races diverses ont été entraînés à imiter le comportement humain. Leur maître devait interagir avec l’un des 6 objets présentés devant lui, comme monter sur une chaise ou toucher un parapluie. Les chiens étaient entraînés à répéter l’action lorsqu’on leur disait "Fais pareil que moi".

Puis on leur a appris à rester couché, peu importe l'action du maître. Après un moment, la personne intimait à l'animal : "Fais pareil que moi !". Les chiens devaient répéter l'attitude du maître." La suite sur 30millionsdamis.fr

Comment un père de famille vivant à Chypre s’est retrouvé en détention en Hongrie, où il est accusé de terrorisme

"Un soir d’été l’an dernier, Ahmed était chez lui à Chypre avec son épouse Nadia et leurs jeunes enfants quand il a reçu un appel téléphonique qui allait bouleverser sa vie.
« C’était sa mère qui appelait de Syrie », se souvient Nadia. « Elle lui a dit que les bombardements dans leur ville connaissaient une accalmie et qu’ils partaient. Ils avaient besoin d’aide. » Cet appel a déclenché une succession d’événements qui ont contribué à ce qu’Ahmed atterrisse là où il se trouve aujourd’hui : enfermé dans une prison hongroise, accusé d’un « acte de terrorisme ».
Il apprendra mercredi 30 novembre quel sort va lui être réservé. S’il est déclaré coupable, il risque la réclusion à perpétuité." La suite sur amnesty.be

A l'issue de son procès, le 30 novembre 2016 Ahmed H a été condamné à 10 ans d'emprisonnement

Les négociations sur les salaires dans l’usine hongroise de Daimler se durcissent

"Les négociations sur les salaires dans l’usine hongroise de Daimler se durcissent. 80 salariés du site de Kecskemet ont ainsi débrayé pendant deux heures, retardant l’expédition d’une cinquantaine de véhicules.
Le syndicat hongrois Vasas veut obtenir une augmentation salariale pour les employés de Daimler et a déclaré que d’autres grèves étaient envisageables si un accord salarial n’est pas conclu." La suite sur ccfa.fr

Hongrie: un migrant syrien accusé de terrorisme

"A Szeged, au sud de la Hongrie, se tient ce mercredi le procès d'un citoyen syrien accusé de terrorisme. Il y a un an, le 16 septembre 2015, la Hongrie verrouillait sa frontière avec des barbelés et des affrontements avaient lieu entre la police et des centaines de réfugiés qui voulaient entrer dans le pays. Les forces de l'ordre ont réprimé la manifestation et arrêté plusieurs migrants, dont Ahmed H., un père de famille syrien de 37 ans. Il est le seul à être accusé de terrorisme. Le tribunal devrait rendre son verdict aujourd'hui, après la plaidoirie de l'avocat de la défense.
Balazs Sebok est l'avocat de l'accusé. Il explique que la loi hongroise définit le terrorisme de manière très large : « Les gens pensent qu'un terroriste, c'est seulement quelqu'un qui fait exploser une bombe ou tue des gens. Mais d'après la loi, un individu peut aussi être accusé de terrorisme s'il essaie de contraindre par la force une organisation d'Etat à faire quelque chose »." La suite sur rfi.fr

Salah Abdeslam, le chauffeur du djihad

"Dans les mois qui précèdent les attentats de Paris, Salah Abdeslam parcourt l'Europe, pour aller chercher dix membres de la cellule djihadiste partis de Syrie. Le dernier suspect encore vivant des commandos du 13 novembre apparaît comme une pièce maîtresse de l'organisation des attaques, mais il refuse toujours d'en dévoiler les secrets.
L'enquête menée à Paris par les juges antiterroristes a depuis longtemps mis en évidence le rôle supposé de Salah Abdeslam dans l'acheminement de certains djihadistes en Europe, via la Hongrie et l'Allemagne, où il a été localisé. Une note du contre-terrorisme hongrois, récemment révélée par le Centre d'analyse du terrorisme (CAT), et qui a vocation à être transmise à la justice française, vient éclairer un peu plus sa mission de convoyeur au service du djihad." La suite sur 7sur7.be

« Che Guevara n’est pas cool et Fidel Castro n’était pas un héros »

"En Hongrie aussi, gauche et droite se sont écharpées autour de la mort du chef d’État cubain Fidel Castro le 25 novembre 2016, à l’age de 90 ans.
Le gouvernement hongrois a profité de la session parlementaire de ce lundi pour attaquer la gauche sur son rapport ambigu au régime communiste cubain et dénoncer ainsi ses sympathies pour un « dictateur sanglant ». Bence Rétvári, secrétaire d’État au ministère des ressources Humaines, a chargé le premier en accusant Zsolt Gréczy, porte-parole de la Coalition démocratique (DK) d’entretenir la nostalgie du castrisme. Le membre du gouvernement considérant même que les personnes adoptant telle attitude ne pouvaient pas être considérées comme des démocrates." La suite sur hu-lala.org

Un chauffeur hongrois condamné après un accident mortel sur l’A27

"Le 2 avril 2011, un poids lourd hongrois roulant vers la Belgique traverse le terre-plein central de l’A27 peu avant Baisieux. Chargé de palettes, il se couchera et glissera ainsi en sens inverse sur une centaine de mètres. Il écrase un monospace dont la conductrice, une dame belge de 61 ans, sera tuée sur le coup et devra être désincarcérée. Une seconde voiture est heurtée puis une troisième accrochée." La suite sur lavoixdunord.fr

mardi 29 novembre 2016

Hongrie : l’immigration principal danger pour les femmes ?

"A l’occasion de la Journée internationale contre les violences faites aux femmes, le Fidesz a attaqué une énième fois la politique migratoire de la Commission européenne, estimant que les réfugiés représentaient le plus grand danger contre les femmes.
L’Union européenne et sa politique d’immigration permissive seraient les plus grands dangers pour les femmes et les enfants, a déclaré le Fidesz vendredi, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. C’est pourquoi la lutte contre l’immigration est tellement importante à ses yeux, a expliqué le parti au pouvoir dirigé par Viktor Orbán." La suite sur hu-lala.org

Oasis urbaines - Budapest

"Le quartier de Józsefváros, l'un des plus anciens de Budapest, a vu pousser au bord du Danube des bâtiments de standing. Mais les habitants historiques du quartier luttent pour continuer à y vivre et participer à son renouveau. Depuis quelques années, certains ont transformé les terrains vagues en jardins communautaires.
Le replay Oasis urbaines - Budapest est proposé en streaming gratuit pendant quelques jours après sa diffusion sur Arte." A voir sur arte.tv

Agota Kristof, une Hongroise suisse dans la littérature française (1935-2011)

"Son premier et inoubliable roman, Le Grand cahier, a révélé cet écrivain au style épuré, qui considérait le français comme une langue « ennemie ». Agota Kristof avait été forcée de l’apprendre quand, exilée de Hongrie en 1956, elle s’était installée en Suisse romande.

Par Sylvie Tanette. Réalisation : Ghislaine David. Prise de son : Patrick Muller. Mixage : Benjamin Vidal. Lectures : Claudine Berthet. Attachée de production : Claire Poinsignon. Avec la collaboration d’Annie Lauzanna, des archives INA et d'Annelise Signoret de la Bibliothèque centrale de Radio France.

Agota Kristof est née et a grandi en Hongrie, près de la frontière autrichienne. En 1956, lorsque la Hongrie est envahie par les troupes soviétiques, Agota Kristof s’enfuit à pied pour rejoindre l’Autriche avec son mari et leur bébé. Ils échouent finalement en Suisse, à Neuchâtel, où Agota Kristof trouve un emploi dans une usine. Elle vivra là-bas jusqu’à la fin de ses jours.
En 1986 Agota Kristof publie Le grand cahier, un roman qu’elle a directement écrit en français. C’est une déflagration. Ce premier texte sera suivi de deux autres, La preuve et Le troisième mensonge. Aujourd’hui la trilogie, traduite dans le monde entier, est toujours rééditée. Le style lapidaire d’Agota Kristof ne laisse personne indifférent. D’autres romans, nouvelles et pièces de théâtre ainsi qu’un recueil de courts textes autobiographiques, L’analphabète, ont été publiés par la suite, toujours sidérants par leur intensité. En octobre 2016, les éditions Zoé à Genève ont publié une édition bilingue d’un recueil de poèmes hongrois d’Agota Kristof, Clous." La suite et émission d'une heure à écouter sur franceculture.fr

Été 1989 à Budapest

"Alors que la question des migrants divise l’Europe et oppose singulièrement les pays d’Europe centrale et orientale et l’Allemagne, il me revient à l’esprit ce qui s’est passé en Hongrie à l’été 1989.
Notre petite famille franco-allemande était arrivée un an plus tôt à Budapest, la capitale de ce qu’on qualifiait à l’époque de pays le plus gai du bloc soviétique. A posteriori, on peut dire qu’il y soufflait une petite brise de liberté depuis le départ en mai 1988 de János Kádár après plus de 30 ans de règne. Toutefois, le rideau de fer était toujours là et l’Allemagne de l’Est était un interlocuteur privilégié de la Hongrie comme en témoignait l’imposant NDK Centrum, institut culturel de la RDA qui se trouvait idéalement placé à la sortie du métro Deák tér." La suite sur hu-lala.org

Bon anniversaire La Cicciolina... mais que devient-elle ?

"La Cicciolina, icône trash des années 80, fête son anniversaire. L'occasion de prendre de ses nouvelles. 

De son vrai nom Ilona Staller, la Cicciolina est une starlette italo-hongroise, née le 26 novembre 1951 à Budapest. Fille d'un fonctionnaire du ministère de l'Intérieur et d'une sage-femme, Ilona étudie la musique et la danse en rêvant de fuir la grisaille du bloc soviétique. A l'aube des années 70, elle travaille à la réception d'un hôtel de Budapest et, tout en renseignant les services hongrois sur les activités des clients occidentaux, elle cède aux avances d'un brave italien, qu'elle accepte d'épouser pour obtenir son passeport pour la liberté. Installée à Milan, Ilona demande rapidement le divorce et, pour gagner sa vie, commence à poser pour des photos. Devenue danseuse pour des émissions de télévision, elle rencontre Riccardo Schicchi. Ce photographe obsédé par le porno va inventer avec elle le concept de “Cicciolina”, un fantasme vivant qui va écumer le cinéma X et les talk-shows des années 70 et 80." La suite sur programme-tv.net

Orban ravi de sa bonne entente avec Trump

"BUDAPEST, 25 novembre (Reuters) - Les relations entre Washington et Budapest pourraient s'améliorer considérablement lorsque Donald Trump prendra ses fonctions à la Maison blanche, a estimé le Premier ministre hongrois, après un entretien téléphonique avec le futur président des Etats-Unis.
Aux affaires depuis 2010, Viktor Orban a eu plusieurs fois mailles à partir avec l'administration américaine, qui lui a reproché des atteintes à la démocratie et à l'équilibre des pouvoirs. Il a été le premier dirigeant européen à prendre parti pour le "vaillant" homme d'affaires new-yorkais, en juillet. Il avait alors jugé les projets diplomatiques d'Hillary Clinton "mortels" pour la Hongrie." La suite sur boursorama.com

Le piquant des Paprikás, club « frenchie » en Hongrie

"Né dans la foulée des deux coups de casque rageurs de Zizou contre le Brésil au stade de France, le Paprikás Torna Klub arbore un liseré tricolore façon écharpe de Monsieur le maire en Budapest International Football League. Derrière l’acronyme pervers de la BIFL, un championnat amateur sans allers-retours entre divisions aux charnières constamment pénétrées où le PTK porte haut son pavillon." La suite sur sofoot.com

Concert de jeunes virtuoses 6 décembre 2016 à 20h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44




Tamás Kökény

En 2014, la télévision publique hongroise a lancé un concours de musique classique pour jeunes musiciens, intitulé « Virtuoses ». L’émission s’est révélée être un formidable vivier de talents, dont quelques-uns se sont déjà présentés devant le public parisien dans le cadre de nos concerts. L’Institut hongrois continue l’aventure en présentant pour la troisième fois ces jeunes talents à la virtuosité impressionnante pour leur âge.
Kármen Stephany Boateng (18 ans) : piano
Tamás Kökény (17 ans) : contrebasse
Gyula Váradi (17 ans) : violon
Entrée libre
Réservation obligatoire : accueil@instituthongrois.fr

Gyula Váradi

Le sommet mondial de l’eau débute à Budapest

"Près de 1 800 délégués issus de 117 pays participent au Sommet de l’eau des Nations Unies qui a débuté ce lundi à Millenáris Park, dans la capitale hongroise.
The World Water Summit est organisé conjointement par le gouvernement hongrois et le Conseil mondial de l’eau, une organisation internationale et indépendante qui se bat pour une meilleure gestion de l’eau." La suite sur hu-lala.org

Trois jours à Budapest

"De sa tumultueuse histoire plus que millénaire, Budapest a hérité d’un patrimoine hétéroclite, mais néanmoins somptueux, qui en fait un conservatoire exceptionnel de l’architecture d'Europe centrale. Loin d’être figée dans le passé, la « Perle du Danube »,  est aussi une métropole dynamique à la vie nocturne réputée. Mieux encore, la capitale hongroise compte parmi les villes les plus tendances du Vieux Continent, avec ses fameux « ruin pubs » et ses boîtes branchées, qui attirent des jeunes venus de toute l’Europe. Une excellente destination pour un city break culturel, festif et dépaysant, à 2 h 30 de vol de la France !" La suite sur routard.com

lundi 28 novembre 2016

Snowattack 2017, entre glisse et electro !

"Les rendez-vous mêlant glisse et musique électronique attirent de plus en plus. Du 28 janvier au 4 février 2017, la station Les Orres accueillera le festival SnowAttack 2017.
Après 8 saisons à Puy St-Vincent, Snowattack s'est déplacé de 50 km plus au sud, à la station des Orres, commune située dans le département des Hautes-Alpes. Comme d'habitude, le festival donne rendez-vous pour une semaine entre glisse le jour et fête la nuit. Du côté de la programmation, on retrouvera des artistes tels que Borgore, Camo & Krooked, Pendulum ou encore James Zabiela."
Pour en savoir plus rendez-vous sur le site officiel du festival

Inquiétude des musulmans de Hongrie face à une "xénophobie croissante"

"Une des principales associations musulmanes de Hongrie a dénoncé lundi les mesures discriminatoires d'un élu local d'extrême droite contre la communauté musulmane et dénoncé "l'islamophobie croissante" dans le pays.

Le maire de la petite ville d'Asotthalom a publié la semaine dernière un décret interdisant la construction de mosquée, l'appel à la prière du muezzin et le port de vêtements tels que le niqab et le burkini.
Cette commune est située à la frontière serbe, qui a vu transiter un grand nombre de migrants depuis 2015 mais la plupart continuent leur route vers l'Europe et ne s'installent pas à Asotthalom, qui compte moins de 4.000 habitants." La suite sur lorientlejour.com

dimanche 27 novembre 2016

«Tous dans le même panier» : une commune hongroise interdit burqas, mosquées ... et propagande gay

"Le maire d'extrême droite d'une commune du sud de la Hongrie s'est mis en tête de défendre son pays contre tout ce qui ne reflète pas ses valeurs. Ainsi, tout ce qui fait allusion à l'Islam, mais également à l'homosexualité sera interdit.
Dans un message posté sur Facebook, Laszlo Toroczkai, maire d'Asotthalom, un village situé près de la frontière serbe, a souligné les propositions adoptées par son conseil après une séance tenue le 23 novembre.
Tous les membres du conseil ont voté pour le nouveau règlement, deux membres seulement s'étant abstenus." La suite sur rt.com

Viktor Orban a été invité par Donald Trump

"Donald Trump a également fait part au Premier ministre de la «haute estime» dans laquelle il tenait son pays.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, l'un des rares dirigeants européens enthousiasmés par la victoire de Donald Trump, a indiqué avoir été invité à la Maison Blanche par le président élu des Etats-Unis.
L'invitation a été lancée à M. Orban lors d'un entretien téléphonique avec Donald Trump qui lui a fait part de la «haute estime» dans laquelle il tenait la Hongrie, selon les déclarations du Premier ministre au site d'information Vilaggazdasag mises en ligne jeudi soir.
«Il m'a invité à Washington, je lui ai dit que je n'y étais pas allé depuis longtemps, car j'étais traité comme "un mouton noir", ce à quoi il a répondu en riant: "Moi aussi", a détaillé le dirigeant souverainiste et conservateur." La suite sur tdg.ch

samedi 26 novembre 2016

1972 : le socialisme sauce magyare

"Par Pierre Waline
« Messieurs, quand on n’a pas les moyens, on ne voyage pas ». Ce message qui me fut adressé par un réceptionniste hongrois était sans doute peu conforme à l’idée qu’un touriste occidental pouvait se faire du socialisme.
Je ne suis pas, tant s’en faut, un spécialiste de Karl Marx, encore moins de Lénine, mais il me semble qu’un des paradoxes du régime communiste est qu’il se vit imposé précisément là où on l’attendait le moins : la Russie paysanne et l’Europe de l’Est de tradition conservatrice et relativement peu industrialisée (Tchéquie et RDA mises à part). Mais bon, mon propos n’est pas ici d’analyser un mouvement qui aura fait couler et continue à faire couler des tonnes et des tonnes d’encre. Il s’agit plus modestement d’apporter un témoignage qui, je pense, illustrera ce constat." La suite sur hu-lala.org

Le groupe de Visegrád et le couple franco-allemand

Entretien avec Philippe Gustin, préfet, ancien ambassadeur de France en Roumanie, co-auteur de l’ouvrage France-Allemagne : relancer le moteur de l’Europe (avec Stephan Martens), 2016, Lemieux.
(c) Hulala. Réalisé à Budapest, mai 2016. Entretien et réalisation : Corentin Léotard et Ludovic Lepeltier-Kutasi, Montage : Paul Saïsset
Vidéo sur hu-lala.org

Budapest recrute trois mille chasseurs frontaliers

"La lutte contre l’immigration reste tout en haut de l’agenda politique du gouvernement hongrois. Le recrutement de trois mille gardes-frontières a débuté en septembre et les formations au 1er novembre.
Nouveau rouage du dispositif de protection des frontières, les « Határvadász » (chasseurs frontaliers) sont une sorte de patrouille civile placée sous l’autorité de la police nationale et sensée renforcer l’arsenal déployé le long de la clôture serbo-hongroise." La suite sur hu-lala.org

vendredi 25 novembre 2016

La communauté vietnamienne en Hongrie : solidarité et patriotisme

"Hanoi (VNA) - Les Vietnamiens résidant en Hongrie sont toujours tournés vers leur pays natal, avec des contributions concrètes et actives au développement socioéconomique du Vietnam, mais aussi à leur pays d'accueil.

Les entreprises vietnamiennes opérant dans ce pays ont par ailleurs participé activement aux activités des entreprises vietnamiennes en Europe en général. C’est ce qu’a estimé l’ambassadeur du Vietnam en Hongrie, Nguyên Thanh Tuân." La suite sur vietnamplus.vn

Hongrie. Le doigt d’honneur des nageurs stars

"Un an avant les championnats du monde de Budapest, plusieurs icônes locales des bassins dénoncent le fonctionnement de leur fédération pilotée par un proche du pouvoir. L’hebdo HVG relaie la révolte.
Le conflit ne date pas d’hier. Début janvier, Katinka Hosszú déchirait publiquement un contrat à 40 000 euros offert par la fédération hongroise de natation. Motif : les plaintes des sportifs liées aux conditions d’entraînement et à l’autoritarisme des dirigeants n’ont jamais été entendues. Ce lundi, la triple médaillée d’or à Rio soutenue par plusieurs nageurs de renom exigeait la démission du président Támás Gyárfás sur Facebook. HVG matérialise cette colère avec des doigts d’honneur sortant de l’eau." La suite sur courrierinternational.com

Lucia di Lammermoor au Théâtre Erkel de Budapest

"Par Pierre Waline


Lucia di Lammermoor constitue probablement le chef d’oeuvre de Donizetti. A mi chemin entre le romantisme d’un Weber et le Bel canto d’un Bellini. Depuis sa création ovationnée au Théâtre San Carlo de Naples en 1835 jusqu’à nos jours, il n’a pratiquement jamais quitté l’affiche (1). Offrant notamment l’une des scènes de folie les plus réussies – et parmi les plus difficiles à interpréter – du répertoire.
L’intrigue, basée sur le roman La Fiancée de Lammermoor de Walter Scott, en est particulièrement tragique: sur fond de guerre de religion dans l’Écosse de la fin du XVIème siècle, séparation de deux amants par le jeu d’une calomnie (fausse lettre) leur laissant croire à une infidélité de part et d’autre. Avec, comme il se doit, la mort de nos deux héros à la clé. Un thème souvent repris, mais ici traité avec une forte intensité dramatique." La suite sur francianyelv.hu

jeudi 24 novembre 2016

Bonjour l'Europe - La Hongrie érige une deuxième clôture à sa frontière Sud

"Il y a un an, le gouvernement hongrois achevait de bâtir une clôture de barbelés le long de la frontière avec la Serbie. Un mur anti-migrants de 175 km de long, prolongé sur une quarantaine de kilomètres côté croate. La Hongrie avait dû faire face à un afflux massif de migrants : plus de 400 000 personnes avaient traversé le pays en 2015, pour gagner l’Europe du Nord. Mais le gouvernement nationaliste de Viktor Orban fait ériger une 2e clôture de barbelés derrière la première. Ce mur n’est pas destiné aux personnes qui veulent demander l’asile en Hongrie et qui peuvent, en théorie, entrer légalement : il est destiné à dissuader les clandestins. Suite à la première clôture, le nombre des migrants entrant en Hongrie s'est réduit à un simple filet. Alors, pourquoi bâtir un deuxième mur ?" La suite à lire et écouter sur rfi.fr

Riverbus, l’autobus qui se prend pour un bateau

"Le Riverbus de HafenCity, à Hambourg, est à la fois un autobus et un bateau. Ce véhicule amphibie unique permet aux touristes qui visitent cette ville portuaire d’Allemagne de découvrir un de ses plus beaux quartiers historiques sur terre et sur mer !
Est-ce un bateau ou un autobus ? En fait, le Riverbus de HafenCity est à la fois l’un et l’autre. Il s’agit d’un bus amphibie qui a été mis en service dans un secteur touristique du quartier portuaire de Hambourg.
Ce véhicule permet aux visiteurs de découvrir Speicherstadt, le quartier historique des entrepôts, grâce à une visite guidée qui leur fait d’abord sillonner les rues du quartier durant une quarantaine de minutes, puis en naviguant sur l’Elbe, le fleuve qui se jette dans la Mer du Nord à Hambourg, pendant une trentaine de minutes.
Lorsqu’il navigue sur l’Elbe, on ne voit que la ceinture de caisse à flot du Swimbus, qui ressemble alors en tous points à un autocar touristique. C’est normal puisque son constructeur a marié la carrosserie d’un autocar Ikarus hongrois à une coque étanche construite autour d’un châssis MAN." La suite sur autofocus.ca

Adieu à Zoltán Kocsis - Kocsis Zoltán búcsúztatása 56 perc

Vidéo sur mediaklikk.hu

...Quand la cour de Versailles s’invite à Budapest...

"Par Pierre Waline
Décidément, nos compatriotes ont la cote, ces temps-ci, auprès des formations musicales hongroises. Après le choix de la France comme pays invité par l’Orchestre du Festival d’Iván Fischer (Budapesti Fesztiválzenekar –BFZ) dans le cadre de l’opération „Passerelles sur l’Europe” (*), c’est au tour de la formation Orfeo, groupe spécialisé dans les répertoires de musique baroque et classique, de choisir un programme de musique française pour fêter ses 25 ans.
Sous le titre „Musiques pour la cour des trois rois” (Louis XIV, XV, XVI), l’orchestre nous proposait un programme regroupant des extraits d’opéras français des XVIIème et XVIIIème siècles:  Lully, Rameau, Leclair, Mondonville, Gluck, Destouches, Royer, Dauvergne, Philidor et autres. Ceci en étroite collaboration avec son partenaire permanent, le Centre de Musique baroque de Versailles (CMBV)." La suite sur francianyelv.hu

En Hongrie, histoires de bananes

"par

« Si tu vois une queue quelque part dans la rue, mets toi dedans, tu peux être sûr qu’il y aura des bananes au bout! » Tel était le conseil que m’avait donné un collègue hongrois de l’Alliance française. Ce fruit jouissait encore dans la Hongrie de la fin de l’ancien régime d’une aura insoupçonnable. D’une manière générale, le pays subissait de temps à autre des pénuries incompréhensibles. C’était en particulier le cas du papier sous toutes ses formes, papier aluminium, essuie-tout et surtout papier toilette dont les rouleaux se vendaient à l’unité très logiquement dans les papírbolt (« papeteries ») ou dans les kiosques à journaux." La suite sur hu-lala.org

mercredi 23 novembre 2016

Soirée des Mardis hongrois de Paris du 22 novembre 2016 - Les images

















Hongrie: les accusations de corruption massive font vaciller le régime Orbán

"Budapest, correspondance.- Que faisaient les yachts de luxe de messieurs Gaith Pharaon et Lörinc Mészáros, au même moment – le 4 août dernier – et au même endroit, dans le port de Split sur l’Adriatique ? La question agite en ce moment les médias hongrois. Le premier est un milliardaire saoudien sulfureux, à la tête de plusieurs sociétés en Hongrie et qui vient d’acquérir un manoir jouxtant la maison des Orbán. Le second est l’ami d’enfance du premier ministre. L’individu possède un curriculum vitae hors norme : simple monteur d'installations au gaz, sa carrière a décollé avec tant de fulgurance depuis l’arrivée au pouvoir du Fidesz, en 2010, qu’il se trouve aujourd’hui à la tête d’un conglomérat industriel florissant." La suite sur mediapart.fr (version payante)

Catherine Paysan - L'Enterrement d'un juif hongrois

Lui, le Juif hongrois né en 1922 dans les quartiers pauvres de Budapest a connu à 20 ans les horreurs du nazisme. Miraculé de la Shoah il décide en 1946 de s’expatrier et de rejoindre Paris.
Elle, la Française de vieille souche née en 1926 dans le village d’Aulaines est restée attachée à sa terre sarthoise. Devenue écrivain elle dit d’elle-même qu’elle a toujours été un arbre enraciné au carrefour des quatre vents de l’esprit, ayant pour vocation de prêter l’oreille au discours des oiseaux venus s’abriter dans ses feuillages.
Ils se sont rencontrés à Paris et pendant plus de trente ans ne se sont plus quittés.

A 90 ans Catherine Paysan avec l’énergie de plume, la force d’évocation, la luxuriance d’écriture qui la caractérise, évoque ce que fut cette union hors normes qui a su triompher des affrontements identitaires, des différences culturelles et des grands traumatismes de l’histoire du XXe siècle, qu’elle sait faire revivre avec une acuité inégalée.

Édition brochée
Sortie prévue : 2 Janvier 2017
140mm x 205mm
512 pages
EAN13 : 9782226391964

Source : albin-michel.fr

Le Canada construit un tunnel en forme de feuille d’érable pour se souvenir des réfugiés hongrois

"Le 4 novembre 1956, les troupes soviétiques envahissent la Hongrie. Des millions de hongrois fuient vers les pays voisins, puis s’étalent sur l’ensemble du globe. A cette date, le Canada modifie sa politique d’immigration et s’ouvre à l’accueil des réfugiés hongrois. Il deviendra le pays à accueillir le plus de hongrois à la suite de ce conflit. Un tournant majeur dans la politique globale du pays devenue terre d’accueil.
Tunnel Through Time 
Au total, ce sont 37.565 hongrois qui arrivent au Canada. Pour célébrer l’accueil de cette population réfugiée, le cabinet d’architecture Hello Wood a conçu un tunnel en bois prenant les contours d’une feuille d’érable. Un drapeau hongrois marque l’entrée du tunnel. Cette interprétation contemporaine des événements historiques symbolise l’arrivée des hongrois au Canada. La structure est composée de 37.565 pièces de bois, qui représentent chacune un réfugié ayant traversé l’Atlantique.
Plus qu’un banal monument commémoratif le tunnel Canadien-Hongrois est le symbole d’une immigration réussie!" La suite en images sur lumieresdelaville.net

mardi 22 novembre 2016

Viktor Orban dénonce le "diktat de Bruxelles" sur les quotas de migrants

"Hongrie, Pologne, République tchèque et Slovaquie, les quatre pays membres du groupe informel Visegrad, ont annoncé ce lundi à Varsovie la création d’un centre de “gestion de la crise migratoire”. Ce centre, dirigé par la Pologne, aura pour tâche de coordonner l’aide aux réfugiés se trouvant hors de l’Europe (Liban ou Jordanie), et de contrôler de manière accrue les frontières européennes.
Il s’agit en somme d’un “contre-plan” aux quotas de migrants voulus par l’Union européenne, que le Premier ministre hongrois Viktor Orban, en visite en Serbie, a qualifié de “diktat de Bruxelles“." La suite sur euronews.com

Sur Facebook, la vie fantastique des « chasseurs frontaliers » d’Orbán

"Formés en six mois, ces flics spéciaux vont gonfler le dispositif dilligenté par la Hongrie le long de sa clôture avec la Serbie. Pour appâter du jeune, l’unité se dévoile entre mini-reportages, photos et démos.
Babett tient joyeusement son micro. Babett appartient fièrement à la police opérationnelle magyare. Derrière elle, quelques collègues se vêtissent en vue d’un exercice. Gábor est déjà prêt. Il porte la tenue de combat du « Határvadász », alias le « chasseur frontalier », que Babett présente façon vlogueuse.
Casque à visière rabattable, masque à gaz, gilet pare-balles en Kevlar, coudières, gants tactiques, bombe lacrymogène, bouclier, matraque... De quoi dissuader les migrants mal intentionnés." La suite sur rue89.nouvelobs.com

Budapest assume le déplacement controversé d’Oettinger

"Le vol controversé du Commissaire Oettinger à bord de l’avion privé d’un lobbyiste proche du Kremlin a été organisé par le gouvernement hongrois, dans le cadre de sa coopération avec l’homme d’affaire, assure Budapest.
Le 18 mai, Günther Oettinger s’est rendu de Bruxelles à Budapest à bord du jet privé de Klaus Mangold, un homme d’affaire allemand travaillant comme lobbyiste pour le Kremlin. Le vice-président de la Commission a assuré que c’était le seul moyen dont il disposait pour arriver à temps à un dîner de travail avec le premier ministre hongrois, Viktor Orbán.
Une pratique pour le moins inhabituelle qui a refait surface alors que le commissaire est sur la sellette après des commentaires peu judicieux sur les Chinois, les femmes et les Wallons. János Lázár, le ministre dirigeant le bureau du Premier ministre hongrois, a donc jugé bon de clarifier la situation auprès des médias, notamment via la Représentation permanente du pays à Bruxelles, assurant que le trajet avait été organisé par Budapest, dans le cadre de sa collaboration avec Klaus Mangold." La suite sur euractiv.fr

lundi 21 novembre 2016

Algérie-Hongrie: signature de deux accords de coopération entre les chambres de commerce

"ALGER - Deux accords de coopération ont été signés dimanche à Alger entre les chambres de commerce algérienne et hongroise, à l'issue d'une rencontre entre des hommes d'affaires des deux pays.
Le premier accord a été signé entre la chambre nationale de commerce et d'industrie (CACI) et son homologue hongroise, tandis que le second accord a été paraphé entre la chambre de commerce et d'industrie d'Alger-Mezghenna et la chambre de commerce de Budapest.
Ces accords visent essentiellement à renforcer la coopération entre les deux pays dans les secteurs susceptibles d'opportunités d'investissements mais qui restent, à ce jour, inexploitables, a déclaré le vice-président de la CACI, M. Riad Amor, lors de cette rencontre d'affaires en présence de l'ambassadrice de la Hongrie, Mme Helga Katalin Pritz." La suite sur aps.dz

dimanche 20 novembre 2016

1972-1992 : Transports loufoques et scènes de rue à Budapest

"Par Pierre Waline
Celles et ceux qui ont connu la Hongrie des années soixante-soixante-dix gardent peut-être en mémoire cette légère odeur de brûlé qui flottait dans l’air de Budapest en hiver.
Une odeur à vrai dire pas si désagréable, du moins pour mes narines, probablement corrompues par l’habitude. M’évoquant un fumet de café fraîchement torréfié, pas si désagréable en fin de compte. Le coupable : le chauffage qui s’effectuait encore en grande partie au charbon. Nettement moins attrayantes, par contre, ces couches de suie noire qui se déposaient un peu partout en ville et noircissaient la neige qui couvrait alors chaussées et trottoirs. Car oui, la neige, qui semble aujourd’hui nous bouder, tombait alors en abondance sur les bords du Danube. Un Danube au demeurant en grande partie gelé, sur lequel dérivaient de grands blocs de glace, offrant, vu des hauteurs, le spectacle d’un puzzle en mouvement." La suite sur hu-lala.org

Hongrie-Kazakhstan : un amour fraternel calculé ? (2/2)

"Article publié le 14 janvier 2015 dans Novastan. Il a été corrigé par Daniela Neubacher et Antje Lehmann et traduit de l’allemand par Pierre Falconetti.

Depuis peu, une porte vers l’Europe s’est ouverte pour le Kazakhstan à Budapest. Plus exactement dans la « Asztana utca », rebaptisée du nom de la capitale centre-asiatique l’été dernier. Ce changement de nom constitue un symbole du rapprochement politique et économique des deux pays observé ces dernières années. Pourquoi, cependant, le Kazakhstan renforce-t-il ses liens avec la Hongrie ? Quels espoirs place Astana dans ce « peuple frère » ? Un regard sur les relations entre ces deux partenaires dépareillés.
La poussière virevolte autour des chevaux qui s’agitent en tous sens – on joue au kokpar. Non pas dans la steppe kazakhe, mais dans le village hongrois de Bugac – 3000 âmes – situé à environ 160 kilomètres au sud de Budapest, dans les basses plaines de Hongrie. Chaque année se tient ici le «Kurultáj», la «rencontre des racines», où participent entre autres des représentants kazakhs afin de faire revivre le passé «commun»." La suite sur hu-lala.org

Agota Kristof Clous

Après les trois romans de sa trilogie, Le Grand Cahier, La Preuve, Le Troisième mensonge, son dernier roman Hier, ses nouvelles C’est égal et son récit autobiographique L’Analphabète, nous pouvons lire aujourd’hui les poèmes d’Agota Kristof (1935-2011). Peu avant sa mort, elle les avait sortis de ses archives pour qu’ils soient édités.
Clous rassemblent les poèmes hongrois de jeunesse dont elle a intensément regretté la disparition au moment de quitter la Hongrie en 1956. Elle les a reconstitués de mémoire, en a ajouté de nouveaux, a choisi leur titre français mais ne les a pas traduits. Source d’inspiration de plusieurs proses, les poèmes sont restés inédits.
Ce livre bilingue constitue leur édition originale en hongrois et leur première traduction en français. Ils sont accompagnés de quelques poèmes écrits directement en français. On y retrouve le style tranchant d’Agota Kristof, ses thèmes, la perte, l’éloignement et la mort, mais aussi, largement déployés, la nature et l’amour.

biographie
Agota Kristof est née en 1935 en Hongrie, à Csikvand. Elle vit en Suisse dès 1956, où elle a tout d’abord travaillé en usine. Elle y apprend le français, puis écrit pour le théâtre et réussit à faire jouer ses pièces.
En 1987, elle devient célèbre avec son premier roman, Le Grand Cahier, qui reçoit le prix du «Livre Européen». Agota Kristof est décédée en 2011. Cette auteur n’a écrit qu’un texte autobiographique mais c’est un bijou, L’Analphabète. Conçu peu après la trilogie des jumeaux, il en a les phrases courtes, la sobriété, le détail fulgurant. Ce récit, extrêmement court, va de la petite enfance en Hongrie à l’exil en Suisse, où elle a perdu sa langue, où elle est devenue une analphabète. Avant d’apprendre le français en même temps que ses enfants, d’écrire des pièces radiophoniques et, un jour, son premier roman Le Grand Cahier. Cette minuscule autobiographie est traduite dans une vingtaine de langues.
Chez Zoé, elle existe aussi en CD, dans la collection La voix du livre, dite par Marthe Keller.

Traduction des poèmes hongrois par Maria Maïla

parution octobre 2016
En stock, disponible
ISBN 978-2-88927-958-1
nb de pages 208
format du livre 140x210 mm
prix : 18,50 €

Source : editionszoe.ch

Voir aussi l'article sur litteraturehongroise.fr 

Le documentaire comme outil de changement / Le festival du film documentaire des droits de l'homme Verzio

"Le 13e festival du film documentaire des droits de l'homme Verzio débute ce soir . Le public pourra choisir parmi plusieurs discussions, séances de questions, concerts et projections : 62 films de 36 pays. Nous avons parlé à la directrice du festival Oksana Sarkisova concernant la structure, les différentes thématiques et l'importance des documentaires sur les droits de l'homme.

Pouvez-vous me dire comment le programme est conçu cette année?
Bien que le festival soit différent chaque année, certains piliers sont plus ou moins stables, deux d'entre eux sont les panoramas international et hongrois qui présentent un aperçu des récents films documentaires novateurs au pays et ailleurs dans le monde. Certains de ces films sont déjà bien connus, ayant été diffusés à travers le monde. Ils ont aussi été présentés dans plusieurs festivals et ont gagné un grand nombre de prix, tandis que d'autres sont parus récemment. Nous avons même des premières à Verzio." La suite sur cafebabel.fr

Les relations entre l’Albanie et la Hongrie au centre d’une conférence scientifique tenue à Shkodra

"SHKODRA, 18 nov /ATA/ – Les relations albano-hongroises ont été au centre d’une conférence sur les études historiques et albanologiques, tenue ce vendredi à Shkodra, pour commémorer le 60e anniversaire de la révolution anticommuniste hongroise qui a eu lieu en 1956.
Des études dans les domaines de l’histoire, de l’albanalogie et de la linguistique sur les relations entre l’Albanie et la Hongrie ont été présentées par des chercheurs albanais et hongrois, au cours de cette conférence organisée dans le cadre du 60e anniversaire de la révolution anti-communiste hongroise." La suite sur ata.gov.al

Les trésors naturels de la Hongrie du nord

"Le nord de la Hongrie abrite le plus haut sommet du pays, des kilomètres de sentiers de randonnée, de vastes réseaux de grottes, des lacs, des cascades, des vins blancs sucrés et des vins rouges charpentés, des sites du Patrimoine mondial de l'UNESCO et d'anciennes villes industrielles où le temps semble s'être arrêté.
Dans les monts Mátra, gravissez le plus haut sommet de Hongrie, le Kékestető, une vraie promenade à travers le Parc jusqu'à 1 014 m d'altitude. Plus à l'est, vous trouverez les magnifiques monts Bükk, avec des sentiers boisés et des cascades, des manoirs et des jardins. Si vous préférez allez sous terre, rendez-vous à Aggtelek. Il y a un système de grottes spectaculaire long de 26 km, inscrit au Patrimoine mondial de l'UNESCO, comprenant un théâtre souterrain, ainsi que des stalactites et des stalagmites si impressionnantes qu'on leur a donné des noms." La suite sur gotohungary.com

samedi 19 novembre 2016

Cette série poétique propose une nouvelle réflexion sur l’intimité

"À travers une série délicate de portraits en noir et blanc recouverts de rayures, Bianka Schumann interroge le sens de l’amour et de l’intimité.
La photographe Bianka Schumann, basée à Budapest, est l’auteure d’une série toute particulière qui livre un nouveau regard sur l’intime. Intitulée Point, cette collection de portraits en noir et blanc capturés à l’argentique est inspirée d’une citation de l’écrivain et philosophe hongrois Béla Hamvas. Violence et tendresse
L’originalité du projet réside dans le fait que Bianka a rayé les zones de contact de ses protagonistes, au moment du développement des photographies. Elle appose donc des égratignures sur leur intimité, sur leur amour et leur tendresse, en proposant un regard différent sur les relations amoureuses : “Ce projet ne possède pas de réel synopsis. Il reflète une citation de l’écrivain et philosophe hongrois Béla Hamvas”, explique-t-elle." La suite sur cheese.konbini.com

Le pays d'Europe avec le taux d'impôt sur les sociétés le plus faible est...

"... la Hongrie. Le Premier ministre a annoncé un nouveau taux unique de 9% sur les bénéfices, qui devrait entrer en vigueur en 2017.
À 18 mois des élections législatives de 2018, le gouvernement hongrois a décidé de se montrer généreux, même très généreux, avec les entreprises. Le Premier ministre Viktor Orban a annoncé hier une révision du taux d'impôt sur les société (IS), abaissé à 9% en 2017.
Il s'agit du plus bas de l'Union européenne, en-dessous de la Bulgarie qui prélève 10% sur les bénéfices. Sur le reste du continent, un seul pays affiche un taux à un chiffre : le Monténégro avec 9% également, selon les données de KPMG." La suite sur latribune.fr

La « Baleine » sur le Danube

"La Baleine (« Bálna ») a ouvert ses portes ! Structure moderne en verre longeant le Danube, elle est située près du Marché Central à Pest, entre le pont Szabadság (pont de la Liberté) et le pont Petőfi.
Cet espace de trois étages fait de l'art son élément principal, de la musique au dessin, en passant par la peinture et les arts appliqués. Au deuxième étage, la New Budapest Gallery, avec ses 760 mètres carrés, est en passe de devenir la nouvelle adresse artistique de la capitale, en exposant les œuvres d'artistes contemporains vivant à Budapest. Le bâtiment renferme également une multitude de magasins, restaurants et cafétérias." La suite sur gotohungary.com

L’institut français de Budapest en 1988

"C’est donc Szegfű utca 6 que se trouvaient les services culturels de l’ambassade de France en Hongrie et l’Institut français. Il y régnait une ambiance bon enfant quasi familiale qui devait beaucoup à l’intimité du lieu et en particulier à cette cour intérieure, point de passage obligé de tous les visiteurs.
Au fil du temps, tous les espaces avaient été investis pour abriter les salles de cours tant de l’école française le matin que de l’institut l’après-midi et le soir. Ainsi, la cave, le grenier, le garage servaient à accueillir des élèves et étudiants, faisant fi de toutes les règles minimales de sécurité. La France était locataire et ne souhaitait pas investir outre mesure dans le bâtiment d’autant plus que depuis des années, on attendait la construction d’un nouvel institut, à Buda, Fő utca, à l’emplacement qu’occupait la légation française avant la Seconde Guerre mondiale." La suite sur hu-lala.org

vendredi 18 novembre 2016

Voici les pays les plus corrompus en Europe

"Lituanie, Roumanie et Hongrie. Dans ces trois pays d’Europe, glisser un pot-de-vin à des fonctionnaires est une pratique répandue, selon un sondage de Transparency International. L’organisation non-gouvernementale basée à Berlin note que la corruption a progressé sur le Vieux Continent, facilitée par la montée des partis populistes et nationalistes.
En Roumanie, près d’une personne interrogée sur trois dit avoir versé de l’argent pour pouvoir accéder à un service public cette année. Près d’un quart des sondés a donné la même réponse en Hongrie et un sur cinq en Lituanie. Ce sont les résultats d’un sondage de Transparency International, une organisation non-gouvernementale (ONG) basée à Berlin, en Allemagne, qui analyse chaque année la perception de la corruption par les citoyens. Son classement annuel des pays les plus corrompus du monde est toujours très attendu." La suite sur ouest-france.fr

La Hongrie va baisser son taux d’imposition pour séduire les multinationales

"L’impôt sur les sociétés sera abaissé à 9 % en Hongrie pour toutes les entreprises à partir de 2017, le plus bas taux de l’Union européenne, a annoncé jeudi le Premier ministre Viktor Orban.
« L’année prochaine, l’impôt sur les sociétés sera d’un seul chiffre et équitable: 9 %, que ce soit pour les PME ou les grandes entreprises », a-t-il déclaré à la presse à Budapest.
Les entreprises hongroises dont le chiffre d’affaires est inférieur à 500 millions de forints (1,6 million d’euros) bénéficient actuellement d’un taux d’imposition de 10 %. Celui-ci est de 19 % pour les sociétés plus importantes." La suite sur euractiv.fr

La légende de Ferenc Puskas est éternelle

"Il y a 10 ans, le football perdait l’un de ses joyaux avec la mort de Ferenc Puskas. Le Real Madrid rend hommage au Hongrois qui prit part à sa grandiose histoire. Cristiano Ronaldo, l’un de ses héritiers, marche dans ses pays et surpasse même son aîné.
C’était il y a 10 ans jour pour jour. Le 17 novembre 2006 est une triste date pour le football et le Real Madrid. Ce vendredi-là, dans sa ville natale de Budapest en Hongrie, Ferenc Puskas s’éteignait à l’âge de 79 ans. Atteint par la maladie d’Alzeihmer, l’ancien footballeur succomba à une pneumonie. Le "Major galopant" était un héros national. Le pays décréta une journée de deuil national à sa mémoire." La suite sur tf1.fr

Projet nucléaire hungaro-russe: Bruxelles clôt son enquête sur l'attribution du marché

"Bruxelles - La Commission européenne a clôturé jeudi, sans suite, la procédure d'infraction en cours contre la Hongrie sur l'attribution à la Russie du marché pour la construction et la rénovation de réacteurs dans l'unique centrale nucléaire du pays.
En revanche, l'enquête approfondie sur l'aide octroyée par la Hongrie à la centrale de Paks se poursuit, a précisé un porte-parole de la Commission dans un courriel.
En novembre 2015, en moins d'une semaine, la Commission avait épinglé à deux reprises ce projet de construction de deux nouveaux réacteurs et de rénovation de deux réacteurs existants de cette centrale située non loin de Budapest." La suite sur romandie.com

Hongrie: la star Hosszu mène la fronde des nageurs contre la fédération

"Budapest - Les nageurs hongrois, menés par leur star Katinka Hosszu, triple championne olympique aux Jeux de Rio, font souffler un vent de révolte contre la fédération nationale mise en cause pour les mauvaises conditions d'entraînement offertes aux athlètes.
La protestation s'est amplifiée depuis la lettre ouverte publiée mardi sur sa page Facebook par la championne de 27 ans visant notamment Tamas Gyarfas, responsable de la fédération hongroise de natation (MUSZ)." La suite sur lexpress.fr

jeudi 17 novembre 2016

Référendum et projet de révision constitutionnelle hongroise

"Le Mot de l’Ambassadeur
Les commentaires des observateurs sur le référendum et sur le projet de révision constitutionnelle hongroise de ces dernières semaines sont décidément bien étranges.
D’abord, un référendum où 92 % des suffrages exprimés représentant 40 % des électeurs inscrits (excusez du peu) ont approuvé la question (purement consultative) posée par le gouvernement est qualifié « d’échec », de « gifle », de « claque » etc. pour la seule raison que la participation a été inférieure à 50 %. Samedi dernier encore, Le Monde persistait à parler de « référendum raté faute de votants » pour qualifier une consultation qui a mobilisé 44 % du corps électoral, doit 3,5 millions de personnes. Il faut quand même le faire.
Ensuite, dans la foulée de ce référendum, le gouvernement hongrois propose un amendement à la Constitution que les mêmes observateurs s’empressent de qualifier « d’anti-migrants ». C’est un peu court. La révision constitutionnelle n’est pas passée, faute de la majorité qualifiée requise. Mais de quoi s’agissait-il au juste ? Tout simplement de dire que l’installation dans le pays de ressortissants étrangers ne bénéficiant pas de la liberté de circulation ne peut se faire que sur la base d’un examen individuel de leur demande conformément aux règles nationales en vigueur, autrement dit que le déplacement collectif de populations imposé de l’extérieur est interdit. Nous ne voyons pas qui peut trouver à y redire. Nous voulions faire savoir clairement que la décision d’accepter ou de refuser l’entrée de quiconque sur le territoire d’un Etat relève de la compétence souveraine de cet Etat, et que pour cette raison le caractère contraignant des répartitions de migrants par quotas obligatoires ne pouvait être admis. L’opposition, y compris l’extrême droite, a fait en sorte que cet amendement ne soit pas adopté. Chacun jugera." Source : Page Facebook de l'Ambassade de Hongrie

L’improbable parcours de l’entraîneur Ferenc Puskas

"Il y a dix ans jour pour jour s’éteignait Ferenc Puskás, l’un des meilleurs footballeurs de tous les temps. En Hongrie comme au Real Madrid, l’image laissée par celui qui était alors surnommé le « Major galopant » reste intacte. Mais on en viendrait presque à oublier qu’il a ensuite été entraîneur pendant plus de 25 ans. Une carrière marquée par de nombreux voyages pour diriger des équipes aux quatre coins du monde. Et par un exploit : guider le Panathinaïkos jusqu’en finale de la coupe d’Europe des Clubs champions en 1971." La suite sur footballski.fr

Dix choses que vous ne saviez pas sur Ferenc Puskás

"Puskás, c’était l’icône de la Hongrie surpuissante des 50's, le troisième canonnier du trio complété par Kopa et Di Stéfano au Real et le premier vrai renard des surfaces avant Inzaghi. Au-delà du sacre olympique, de la finale perdue avec l’Equipe d’Or, de son nombre de pions démentiel et de son prix couronnant le but de la saison, voici dix histoires un poil moins connues sur le regretté « Pancho ».

1. Ses funérailles de roi
Qu’est-ce qui unit le premier souverain du royaume de Hongrie sacré en l’an mil et l’empereur de la patate du gauche aux 25 mètres ? Réponse : la basilique de Budapest. Le premier lui a donné son nom (Saint-Etienne). Le second y repose tout comme son camarade Sándor Kocsis, la « Panthère Noire » des cages Gyula Grosics et l’ultime rescapé du Onze magique, Jenő Buzánsky, décédé en janvier 2015. Le dix indépassable eut droit à des adieux quasi divins avec honneurs militaires et concert de larmes. Son convoi mortuaire, escorté par des torches et des milliers de fans, a paralysé le centre de la capitale." La suite sur sofoot.com

Budapest ravie d'accueillir l'EURO 2020

"Budapest a dévoilé son logo pour l'UEFA EURO 2020. D'après le président de l'UEFA Aleksander Čeferin, ce sera un "hôte fantastique"
La Hongrie a dévoilé le logo de Budapest pour l'UEFA EURO 2020.
Le ministère des Affaires intérieures a accueilli la cérémonie de présentation du logo mercredi. Le président de l'UEFA Aleksander Čeferin était présent dans la capitale hongroise pour l'occasion.
Budapest, qui fait partie de 13 villes hôtes du prochain EURO, organisera trois matches de groupes et un 8e de finale pour cette édition qui marquera les 60 ans du Championnat d'Europe de l'UEFA." La suite sur uefa.com

Sénégal-Hongrie-Télécom

"Le DG de L’ARTP souhaite un partenariat avec le régulateur hongrois.
e directeur général de l’Autorité de régulation des postes et des télécommunications (ARTP), Abdou Karim Sall, a exprimé son souhait de signer dans de brefs délais une convention d’échange d’informations et d’expériences avec l’organe de régulation des télécoms de la Hongrie, annonce un communiqué. M. Sall s’exprimait, mercredi, lors de sa rencontre avec le Dr István Mikola, ministre d’Etat en charge des Affaires étrangères et du Commerce de la Hongrie en marge du forum de l’ITU Telecom World 2016, à Bangkok (Thaïlande)." La suite sur editoweb.eu

1985-1995 : les années folles

"Par Pierre Waline
Celles et ceux qui ont connu la Hongrie du milieu et de la fin des années quatre-vingt gardent encore en mémoire ces files de Trabant revenant de la frontière autrichienne, lestées d’énormes réfrigérateurs sur leur toit (au moins aussi volumineux, sinon plus que la pauvre voiture quasiment écrasée en dessous).
Car, contrairement à une idée répandue, les gouvernements hongrois et autrichien avaient passé un accord pour la suppression des visas entre les deux pays et la simplification des formalités. Ce qui, en échange, marqua le départ de cette vague de patients autrichiens venant se faire soigner les dents en Hongrie (au grand dam des dentistes viennois). Une mode qui perdure, voire s’est généralisée, plus de trente années après." La suite sur hu-lala.org

Hongrie-Kazakhstan : un amour fraternel calculé ?

"Article publié le 14 janvier 2015 dans Novastan. Il a été corrigé par Daniela Neubacher et Antje Lehmann et traduit de l’allemand par Pierre Falconetti.

Sous le slogan de « l’ouverture vers l’Est », le pouvoir hongrois tisse et renforce de façon croissante ses liens avec l’Asie centrale. Notamment, avec le Kazakhstan. Mais l’établissement de ces relations avec l’Orient met ce membre de l’Union Européenne (UE) sur un chemin parsemé de polémiques.
Les pieds calés dans les étriers. La tête portée par de larges épaules. Le Prince Árpád regarde au loin, mille ans en arrière, le long de la l’avenue Andrássy de Budapest. Chef des magyars, ce conquérant s’est établi dans la vallée du Danube, conquête pour laquelle les Hongrois lui ont consacré un monument au centre de la Place des Héros dans l’actuelle capitale magyare. Le mythe du peuple hongrois, cavaliers venus de la lointaine Asie, était né, et sous-tend depuis l’identité nationale." La suite sur hu-lala.org

mercredi 16 novembre 2016

Visite au stand hongrois du marché de Noël 2016 des Champs-Élysées

Stand ouvert tous les jours de 11 h à 23 h du dimanche au jeudi et de 11 h jusqu'à minuit les vendredis et samedis
Le stand hongrois du Marché de Noël est situé au Rond-point des Champs Élysées, Métro Franklin-Roosevelt. Il vous attend à partir du 11 novembre 2016. Tous les plats sont cuisinés avec des ingrédients et de la viande d'origine hongroise : des saucisses grillées, du jarret de porc, du chou farci ainsi que des gâteaux traditionnels de Noël.














Et bien sûr comme chaque année on peut trouver des lángos à la crème fraiche - fromage, aux légumes grillés, au jarret et aux saucisses. Le stand propose aussi du miel d'acacia de Hongrie, "mézes puszedli" et il est possible de commander des gâteaux roulés (bejgli), ainsi que des "zserbó" (Gerbeaud) et "flódni" pour la fin du mois de novembre








November 11.-től ismét várunk mindenkit nagy szeretettel, hozzuk a rengeteg magyar finomságot a töltött káposztától az igazi házi parasztkolbászon keresztül a csülökig és minden egyéb finom, kizárólag magyar alapanyagokból készült ételekkell !

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