"Tribune publiée le 9 octobre 2016 dans Kettős Mérce. Traduit du hongrois par Ludovic Lepeltier-Kutasi.
Une partie des lecteurs débattent sur Internet de quel journal était le Népszabadság. J’ai lu aussi dans un commentaire, que «népszabadság» («liberté du peuple») était un mot bolchévique, une vue de l’esprit un peu artificielle qui remonte pourtant à 1848. Petőfi, mais aussi Mihály Táncsics l’utilisaient.
Peu importe. La plupart d’entre eux écrivent que le Népszabadság n’est
plus un journal de gauche depuis des dizaines d’années. C’est vrai
(tout comme c’est vrai que l’opposition «de gauche» n’est pas de gauche.
C’est vrai. Dans le langage journalistique actuel, est de gauche celui
qui s’oppose à Orbán. Bref, ce sont là des enfantillages). Tout ça n’a
pas grand chose à voir avec le problème auquel nous sommes confrontés.
Le préjudice ne concerne pas uniquement les médias de gauche ou les
revues culturelles, mais atteint plus largement tous les espaces où l’on
sent encore un peu de vivacité." La suite sur hu-lala.org
lundi 10 octobre 2016
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