lundi 31 mars 2014

Video · La Hongrie retourne au travail avec des emplois au rabais

"Dans le cadre des élections législatives hongroises du 6 avril: Les emplois créés par le gouvernement de Viktor Orban sont au rabais, la paie aussi. Mais les statistiques ont fière allure, et permettent au Premier ministre sortant de vanter ses [résultats]." A voir sur actudirect.com

Deux générations d’écrivains sur les traces de la Shoah en Hongrie jeudi 15 mai à 19:00

Dans le cadre de la 70e commémoration de la destruction des Juifs de Hongrie (1944-2014)

Fils et petit-fils de survivants de la Shoah en Hongrie, Gábor Schein vient de publier Lazare ! (traduit du hongrois par Clara Royer, éd. Petra, 2013), inspiré de sa propre histoire familiale. Dans son premier roman, Tous ceux qu’elle aimait (traduit de l’hébreu par Laurence Sendrowicz, éd. Fayard, 2013), Edna Noy, fille unique d’un couple de rescapés hongrois, retrace l’impossible reconstruction des survivants de la Shoah.

suivie d’une lecture
La Shoah dans la littérature hongroise – de 1944 à nos jours

D’œuvres écrites en pleines persécutions (Miklós Radnóti, Éva Heymann), à la veille de la prise du pouvoir par les communistes en 1948 (Ernö Szép, Béla Zsolt), dans les années 1970 (Imre Kertész, Mária Ember), jusqu’aux ouvrages réalisés dans les années 1990-2000 par des auteurs n’ayant pas vécu la Shoah (Edna Noy, Gábor Schein, László Márton), ce parcours présente la façon dont les diverses générations d’écrivains ont appréhendé la Shoah.

Lecture par Jean-Quentin Châtelain et Agnès Sourdillon, comédiens.
Animée par Clara Royer, maître de conférences en Cultures d’Europe centrale, université Paris 4-Sorbonne.
Avec le soutien des services culturels de l’ambassade d’Israël en France.

En partenariat avec l’Institut Balassi.

Informations : www.memorialdelashoah.org | +33 1 53 01 17 42

Entrée libre sur réservation


Mémorial de la Shoah 
17, rue Geoffroy l'Asnier
75004 Paris

Gyula Krúdy – Pirouette

"De Gyula Krúdy, je n'avais jusqu'ici lu qu'une petite poignée de nouvelles très courtes qui m'avaient fait penser que son principal sujet était la vie nocturne de Budapest, les duels, les cafés, le monde des hommes. En lisant Pirouette pour le troisième chapitre de mon exploration de la littérature hongroise du siècle et demi dernier, j'ai donc eu une surprise en découvrant non seulement l'histoire d'une jeune fille mais aussi un auteur atypique à l'atmosphère particulière, rêveuse et mélancolique, impression confirmée par le deuxième court roman (Le compagnon de voyage) et la nouvelle (Le secret de Sindbad) qui complétaient le recueil." La suite sur passagealest.wordpress.com

Entrevue avec le ministre de la défense de la Hongrie

"L’Armée hongroise (AH) a été créée après la chute du régime communiste hongrois en 1989. Remplaçante de l’Armée populaire hongroise, l’AH a été immédiatement restructurée et modernisée dans le but de rejoindre l’Europe et l’OTAN. Aujourd’hui, l’AH est un armée professionnelle et bien équipée qui coopère activement avec ses alliés dans de nombreux domaines tels les missions de maintien de la paix et les programmes de formation du personnel. Pour en savoir davantage sur l’AH, nous avons interrogé le ministre hongrois de la Défense, M. Csaba Hende." La suite sur princearthurherald.com

Hongrie : Viktor Orbán surfe sur la relance

"Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, dont le parti conservateur est donné gagnant aux législatives du 6 avril, se targue d’avoir redressé l’économie, qui a connu une croissance de 1,2 % en 2012, et table sur une hausse de 2 % cette année. «Si nous continuons, nous pouvons nous fixer de façon réaliste l’objectif de devenir le pays d’Europe le plus industrialisé à l’horizon 2018», s’est vanté Orbán. Avec un taux de 8,6 % fin février, le taux du chômage n’a jamais été aussi faible depuis cinq ans." La suite sur liberation.fr (version payante)

dimanche 30 mars 2014

The New Budapest Metro Line Is an Awesome Psychedelic Trip

"After ten years of extremely expensive, slow, and politically messed up construction work–it is a long and sad story of government corruption and incompetence–Budapest, the Hungarian capital, got its fourth metro line today. Despite its ill-fated genesis and controversial usefulness, the Metro 4 is an amazing engineering, architectural, and artistic achievement, a mix of stunning concrete structures and trippy ornamentation. It looks stunning.
The first section of M4 is 7.4 km in length, and consisting of ten stations, connecting the southwestern Kelenföldi railway station located in Buda, and the eastern Keleti railway station in Pest, under the River Danube. The recently opened first section of the M4 cost approximately 452 billion HUF (ca. $2 billion). Gratuitous price tag? Decide for yourself!" La suite en photos sur gizmodo.com

Leçon de cinéma avec István Szabó 12 avril à 17h40 Cinéma l'Entrepôt

Cinéma l'Entrepôt
7 rue Francis de Pressensé 75014 Paris
Informations : www.lentrepot.fr
+33 1 45 40 07 50

Le Festival l'Europe autour de l'Europe a l'honneur de vous inviter à une rencontre avec le grand cinéaste hongrois  István Szabó à Paris dans le cadre d'une Leçon de Cinéma suivi de la projection de son film Méphisto (Oscar du Meilleur film en langue étrangère en 1982, Prix du Meilleur scénario et prix de la Critique du Festival de Cannes).
« Il est le plus connu des cinéastes hongrois. Le seul à ce jour à avoir reçu l'Oscar du Meilleur Film Etranger. (...) István Szabó a une manière bien à lui de peindre par l'intime les contradictions de notre histoire commune. Si la permanence de son regard a dû passer par des coproductions multiples pour se faire entendre, il reste comme aimanté par une vérité à débusquer dans notre histoire contemporaine, aussi obscurcie fut-elle par les drames politiques et les guerres, les conflits moraux et les élans totalitaires. » Jean-Jacques Bernard, 2013

20h : Mephisto d'István Szabó Fiction
1981 / 144' / Hongrie - Allemagne / VOSTFR
avec Klaus-Maria Brandauer, Krzystyna Janda, Ildikó Bánsági, Rolf Hoppe, Péter Andorai
Dans les années 30 en Allemagne, Hendrik Hoefgen, un acteur ambitieux, se soucie peu de l’ascension des Nazis mais uniquement de sa carrière artistique. Il épouse la fille d'un célèbre professeur pour pouvoir accéder au Théâtre de Berlin et profitant de la prise du pouvoir nazi devient très populaire dans le rôle de Méphisto dans la pièce Faust de Goethe. Mais il va vite se rendre compte qu'il évolut dans un monde où la haine et la peur sont maîtres. 
« ... le lecteur aura peut-être retrouvé là le schéma du roman homonyme écrit en 1936 par le romancier antifasciste Klaus Mann, fils de Thomas Mann. István Szabo en a respecté la traie l'idée des relations entre l'art et la politique, ainsi qu'une partie des péripéties. Seul ce qui était prescience pure en 1936 a été adapté en fonction de ce que nous savons aujourd'hui de la période (...) un des meilleurs films hongrois de l'année, Mephisto a obtenu le prix du meilleur scénario et le prix de la Fédération internationale de la presse cinématographique (Fipresci) au dernier Festival de Cannes. » Jean Roy, Cinéma, 1982
Partenaires :  Institut Hongrois de Paris, Clavis Films
Plein tarif : 8€ | Tarif réduit : 6.50€ | Membre AAFEE : Entrée libre

Réécouter "Une vie - Une œuvre" consacrée à Sándor Márai

"Pour réécouter l'émission Une vie - Une œuvre consacrée à Sándor Márai, diffusée sur France Culture le 29 mars,
Ceux qui voudraient lire le texte dit à la fin de l'émission, peuvent le retrouver sur ce blog (article du 14 janvier : La forêt, traduit par mes soins d'abord à partir de l'allemand , puis vérifié et rectifié sur l'original hongrois)." Source : sandor-marai.blogspot.fr

L'exposition de photos du Quartier juif de Budapest à l'Institut hongrois : vu dans la presse


VIDEO. Les folles acrobaties d'un pilote d'avion dans le canal de Corinthe

"A 57 ans, le pilote d'avion Peter Besenyei a volé entre deux falaises espacées de seulement 21 mètres en Grèce.
A coup sûr, ces images époustouflantes vont vous faire tourner la tête. A 57 ans, le pilote hongrois Peter Besenyei s'est livré à un périlleux exercice de haute voltige, mercredi 26 mars, dans le canal de Corinthe (Grèce). Son avion, un Extra 300S D-EFBY, large de 8 m, est passé dans un corridor seulement large de 21 m. Les conditions sont d'autant plus difficiles que l'étroitesse du canal accentue les turbulences." La vidéo et la suite sur francetvinfo.fr

Hongrie: démonstration de force des partisans du Premier ministre

"A huit jours des législatives hongroises, les partisans du Premier ministre conservateur sortant Viktor Orban se sont rassemblés en masse samedi à Budapest pour entendre leur champion, consacré par les sondages comme le grand favori du scrutin.
A l'appel d'une association proche du gouvernement, le Forum du rassemblement civil (COF), plusieurs dizaines de milliers de manifestants, selon l'estimation des journalistes de l'AFP, ont défilé pour beaucoup habillés en orange, la couleur du Fidesz, et brandissant des drapeaux hongrois pour afficher leur soutien à celui qui règne sans partage sur le pays depuis quatre ans." La suite sur rtbf.be

samedi 29 mars 2014

La tombe du chef des Huns Attila découverte à Budapest

"Des ouvriers du chantier de construction d’un pont dans la capitale hongroise ont découvert une sépulture datant du VIe siècle. Les archéologues considèrent qu’il s’agirait de la sépulture du grand chef des Huns Attila." La suite sur ruvr.ru

Spirit of Hungary, premier des nouveaux IMOCA

"Le navigateur hongrois Nandor Fa en a terminé avec la construction de son bateau pour le prochain Vendée Globe. « Spirit of Hungary »  sera mis à l'eau dès ce mois d'avril à Trieste. Il sera le premier des bateaux neufs répondant aux caractéristiques de la nouvelle jauge IMOCA.
La mise à la jauge a nécessité quelques ajustements sur ce bateau construit entièrement en Hongrie, chez Pauger Carbon Ltd, sur un design signé Nandor Fa lui même, accompagné d'Attila Déry. Le skipper hongrois considère qu’il a le bateau le plus performant possible dans ce cadre et il dit approuver ces nouvelles règles, notamment parce qu’elles sont selon lui garantes d’une fiabilité supérieure. Nous avons posé quelques questions à ce jeune homme de 60 printemps à la motivation sans faille." La suite sur vendeeglobe.org

Les métros d'Alstom entrent en service à Budapest sur la première ligne automatique d'Europe centrale et orientale

"Des rames de métro Alstom sont entrées en service commercial le 28 mars en Hongrie sur la nouvelle ligne 4 du métro de Budapest, première ligne de métro automatique d'Europe centrale et orientale. Dans le cadre de l'inauguration de la ligne, Viktor Orbán, Premier Ministre de la Hongrie, et István Tarlós, Maire de Budapest, ont mis en service 15 nouvelles rames Métropolis sur la nouvelle ligne de 7,4 km qui relie deux nœuds ferroviaires importants de Budapest : la gare intermodale Kelenföld de Buda et la gare située à l'Est de Pest. Les rames de métro inaugurées font partie des 37 Métropolis commandées pour les lignes 2 et 41." La suite sur zonebourse.com

La Hongrie opposée à des sanctions économiques contre la Russie


"BUDAPEST, 28 mars (Reuters) - La Hongrie n'est pas favorable à ce que l'Union européenne impose des sanctions économiques à la Russie en raison de son intervention en Ukraine, déclare le Premier ministre Viktor Orban dans une interview publiée vendredi.
Budapest importe 80% de son gaz naturel de Russie et vient de signer un contrat de 10 milliards d'euros avec Moscou pour l'extension de la centrale nucléaire de Paks par Rosatom, la société atomique publique russe." La suite sur reuters.com

vendredi 28 mars 2014

Des centaines de milliers de Hongrois sont pris au piège des «prêts en devises»

"C'est l'un des plus graves problèmes sociaux que connaît la Hongrie : près de la moitié des foyers ont contracté dans les années 2000 des prêts en devises étrangères. L'effondrement économique de 2008 rend aujourd'hui impossible leur remboursement. Le gouvernement Orbán tente de faire payer les banques.
Lundi 13 janvier 2014, une violente explosion souffle la façade d’une banque dans un quartier résidentiel de la capitale hongroise. C’est une première dans ce pays où le risque terroriste est proche de zéro. Quelques semaines plus tard, un groupuscule d’extrême droite revendique l'attentat et dénonce le chantage des institutions bancaires dans le pays. Les banques sont devenues les cibles de manifestations récurrentes depuis plusieurs mois. Car la Hongrie fait face à un dossier social et économique qui tourne à la catastrophe : près de la moitié des foyers hongrois (1,8 sur 4 millions) se trouvent pris au piège de prêts contractés en devises étrangères entre 2004 et 2009." La suite sur mediapart.fr (version payante)

La Shoah et les arts : histoires hongroises (1945–1989) Exposition 10 avril - 24 mai Institut hongrois

Vernissage : 10 avril à 19h
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
György Kemény : Autoportrait d'enfance, 1968

L’exposition explore la mémoire de l’Holocauste et du génocide des tsiganes, le Porajmos, dans l’art hongrois entre 1945 et 1989, une époque où le premier mot n’était pas encore communément utilisé en Hongrie et où le second n’existait même pas. Les œuvres exposées sont ultérieures à l’Holocauste, elles ne la documentent pas mais portent un regard critique sur ces événements tragiques.
Les premières œuvres (1945–1948) respirent l’air relativement libre de l’après-guerre et portent souvent les traces récentes laissées par l’expérience personnelle de l’Holocauste. La majorité des œuvres exposées ont été créées après la prise du pouvoir communiste en 1948, dans une période où la politique officielle de la mémoire mettait l’accent sur la « lutte contre le fascisme » et ses « héros » et « martyrs » négligeant volontairement les origines juives ou tsiganes des victimes. Jusqu’au changement de régime en 1989, de nombreux monuments et plaques commémoratives portaient l’empreinte de cette politique de la mémoire en Hongrie.
Sans cet éclairage historique, il est difficile de comprendre et d’apprécier les œuvres de l’exposition. Celles-ci démentent le mythe du silence sur l’Holocauste et surtout viennent corriger l’image généralement répandue sur cette époque : elles mettent en évidence la différence fondamentale qui sépare la politique officielle de la mémoire et le discours publique, la mémoire personnelle et la mémoire artistique.
La sélection réserve une place de choix aux œuvres critiques qui ont osé rompre le silence, ouvrant ainsi le chemin vers un discours artistique sur l’Holocauste. Les artistes ont traité ce thème en fonction de leur intérêt, de leurs expériences, de leurs histoires personnelles, mais la portée de leurs œuvres était limitée, surtout comparée à celle des monuments que produisait la politique officielle de la mémoire.
Outre ces œuvres d’art, l’exposition propose également des films et des romans considérés comme des œuvres charnières de la mémoire de l’Holocauste. Issues des collections publiques et particulières, ces œuvres, pour la plupart rarement exposées, ont été réunies ici pour la première fois dans le but d’évoquer la mémoire de l’Holocauste entre 1945–1989.
Artistes-exposants
Margit Anna, András Böröcz, Endre Bálint, Rezső Rudolf Berczeller, György Kemény, János Major, Miklós Erdély, György Román, Endre Rozsda et Zsuzsa Szenes. Films de Zoltán Fábri, Gyula Gazdag et József Lojkó Lakatos.
Commissaire de l’exposition
Daniel Véri, historien de l’art
Entrée libre

Hongrie : Quand la rhétorique antisémite se décomplexe

"L’extrême droite au pouvoir en Hongrie a le vent en poupe. Et les références antisémites imprègnent de plus en plus le lexique de partis plus modérés.
Un opposant tente de perturber le discours du député hongrois Janos Hargitai.
Entre deux drapeaux hongrois, le Hargitai s’exprimait au début du mois lors d’une cérémonie commémorant la révolution de 1848, à la faveur de laquelle la Hongrie s’émancipait de l’empire autrichien et gagnait son indépendance.
Hargitai n’a pas hésité à imprégner son discours de références antisémites à peine voilées." La suite sur timesofisrael.com

Des réformes très populaires pour relancer la natalité en Hongrie

"Katalin Lévai : Dans cette nouvelle réforme, on peut choisir de travailler à temps partiel ou temps plein. C’est une bonne réforme.
Katalin Lévai est actuellement en congé de maternité et la réforme dont elle parle, c’est celle qui est proposée par le gouvernement de droite populiste de Viktor Orban à l’approche des élections législatives qui auront lieu le 6 avril. Moins d’impôts, des allocations de congé maternité plus importantes…
Sur certains points, ces réformes qui visent à relancer la natalité en déclin en Hongrie, s’inspirent du modèle français." La suite sur franceinter.fr

jeudi 27 mars 2014

Un substitut au projet de mémorial du Fidesz ?

"Et si l’on dressait une autre statue pour commémorer l’invasion allemande de la Hongrie ? Partant du constat que le projet de mémorial du gouvernement ne tient pas la route, un artiste freelance du nom de Prolidepp a tenu à proposer sa vision des choses, à la fois originale et subversive…
Nous vous faisions récemment part du projet du mémorial controversé qu’allait ériger le gouvernement hongrois sur la Szabadgság Tér (ndlr : Place de la Liberté) en commémoration de l’occupation de la Hongrie par l’armée allemande lors de la seconde guerre mondiale. Ce monument dépeint l’envahisseur allemand comme étant le seul et unique responsable de la déportation des juifs de Hongrie, ce qui avait déclenché l’ire de nombreuses associations tout comme de l’opposition politique de gauche ; les critiques y voyaient un affront envers la communauté juive et une forme de révisionnisme voire de négationnisme." La suite sur hu-lala.org

La Hongrie poursuit sa politique monétaire non conventionnelle

"Mardi 25 mars, la Banque nationale de Hongrie (BNH, banque centrale) a baissé son principal taux directeur de 2,7 % à 2,6 %, un nouveau plancher historique. Il s'agit de la vingtième baisse consécutive depuis août 2012 (le taux était alors de 7 %) visant à soutenir l'économie du pays, sortie très affaiblie de la crise de 2008.
Ce nouvel assouplissement intervient onze jours avant les élections législatives du 6 avril, qui devraient voir le Fidesz, le parti conservateur du premier ministre, Viktor Orban, l'emporter haut la main. « Cette mesure est également symptomatique de la reprise en main de la politique monétaire par le pouvoir », souligne William Jackson, chez Capital Economist.
En 2012, M. Orban, arrivé au pouvoir en 2010, a en effet modifié la Constitution afin de donner plus de poids au gouvernement dans les décisions de la banque centrale, puis il a nommé à sa tête György Matolcsy, l'un de ses proches. A l'époque, ces mesures avaient fait bondir Bruxelles, inquiet de l'indépendance de l'institution." La suite sur lemonde.fr version payante ou en kiosque

La Hongrie se souvient de l'invasion nazie...

"La conférence des rabbins européens (CER) se réunissait pour son assemblée générale biannuelle les 24 et 25 mars à Budapest, en Hongrie. Cette réunion coïncidait justement avec la commémoration des 70 ans de l'invasion du pays par les troupes nazies - un événement qui a signé le point de départ de la déportation massive d'un peu plus d'un demi-million de juifs hongrois. A cette occasion, des membres du CER étaient réunis aux abords du Danube pour une conférence en réponse à un renouveau de l'antisémitisme dans le pays." La suite sur fait-religieux.com

La Hongrie finance la compilation de dictionnaires Hongrois-Chinois/Chinois-Hongrois

"Le gouvernement hongrois a décidé de financer la compilation des dictionnaires Hongrois-Chinois et Chinois-Hongrois pour faciliter l'apprentissage de la langue chinoise, a annoncé mardi l'Institut Confucius de l'Université d'Eotvos Lorand (ELTE).
Les dictionnaires seront compilés par l'Institut Confucius de l'ELTE et par le Département de langue chinoise de l'ELTE. Ce projet débutera en avril, a précisé lors d'une conférence le chef de l'Institut Confucius de l'ELTE, Imre Hamar." La suite sur xinhuanet.com

mercredi 26 mars 2014

Rôle de Nicolas Horthy


Dans le Monde du dimanche 23 – lundi 24 mars 2014 est paru la lettre ci-dessus. Malgré la respectabilité généralement reconnue à son auteur sa lettre est une tentative de disculper un criminel et de gommer des vérités historiques bien établies. Je me permets donc de vous adresser [au quotidien Le Monde] une simple mise au point au sujet du régent Miklos Horthy.

Paul Wiener 
Lecteur du Monde depuis plus d’un demi-siècle


Le régent Miklos Horthy, chef d’état de la Hongrie entre les deux guerres, s’est rendu coupable d’une série d’assassinats en 1919, de la déportation d’une population juive en 1941 livrée aux allemands en connaissance de cause, sachant que ces gens allaient tous être massacrés et du génocide par déportation à Auschwitz de plus de quatre cents milles juifs hongrois en 1944. Tous ces crimes sont parfaitement documentés.
Les tueries en 1919 ont été organisées par les éléments de son armée. Ainsi dans une seule petite ville, la ville de Siofok on estime à 570 le nombre de victimes assassinées sans jugement parfois de la manière la plus sauvage. Tous n’étaient pas juifs, de nombreux partisans de la Commune de Hongrie qui a dirigé le pays pendant trois mois après la première guerre, en faisaient partie. Paul Morand qu’on ne pouvait soupçonner de sentiments pro bolcheviques a parlé des caves d’un hôtel de Budapest affectées à la torture pendant ce qu’on a appelé la terreur blanche de 1919-1920.
La déportation des juifs en 1941 en Ukraine occupée par les allemands, des territoires récupérés par la Hongrie après l’arbitrage dit de Vienne, a eu lieu sans exigence de la part des allemands. Bien au contraire la Wehrmacht a demandé à ce qu’ils soient renvoyés en Hongrie mais les autorités hongroises ont refusé catégoriquement. Alors les 26000 juifs hongrois ont été massacrés à Kamenets-Podolski, ville frontière.
Lors de l’occupation allemande de la Hongrie en mars 1944 Hitler tenait à faire avaliser par Horthy la nomination d’un gouvernement pro allemand, ce qui a été fait. Horthy est resté chef d’Etat, donc responsable de ce qui pouvait se passer dans son pays. Il a boudé pendant deux mois et c’est ainsi qu’il a laissé faire la déportation, réalisée par la gendarmerie hongroise, là encore souvent dans des conditions atroces. Les deux cents allemands groupés autour d’Eichmann ont seulement encouragé et conseillé l’administration hongroise. Ils ont aussi admiré son efficacité ! Horthy, alarmé par les réactions anglaises et américaines, sachant la guerre perdue, a arrêté la déportation en juin 1944. Les services hongrois, gendarmerie comprise ont immédiatement obéi. Pourquoi n’est-il pas intervenu plus tôt ? En tant que chef d’Etat il était évidemment responsable de tous les crimes commis en son nom. Depuis une dizaine d’année l’extrême droite hongroise a entrepris une campagne de réhabilitation de Horthy.

Paul Wiener
Paris

János Palojtay en concert à Port Royal des Champs

Notre prochain concert aura lieu le Dimanche 6 Avril 2014, 17h

Port Royal des Champs
Salle Gazier (entrée ruines de l'abbaye)

avec
János Palojtay, Piano

Au programme :
Beethoven : Sonate en ré majeur op. 10 n°3
Ravel : Valses Nobles et Sentimentales
Schumann : 6 Intermezzi op. 4
Scriabine : Fantasie in si-mineur
Bartók : 2 Danses roumaines op. 8

János Palojtay

Ces dernières années ont vu bon nombre de jeunes pianistes hongrois étonnamment talentueux et se lancer dans la carrière, à la suite des Zoltán Kocsis, Dezső Ránki ou András Schiff. János Palojtay est l'un d'eux.
Né à Budapest en 1987, János Palojtay commence le piano dès l'âge de 5 ans. A l'âge de 13 ans, il est admis au département junior de l'Académie Franz Liszt de Budapest et entre, un an plus tard, à l'École de musique Béla Bartók dans la classe de composition.
En 2004, il remporte le deuxième prix du concours International Chopin de Budapest. En 2011, il obtient le Prix Biro Sári de l'Académie Franz Liszt et poursuit ses études au Mozarteum de Salzbourg. Il poursuit actuellement ses études à Stuttgart auprès de Kirill Gerstein.
János Palojtay a participé aux Encuentros de Música y Academia de Santander ou aux Schubertiades (Schwarzenberg, Autriche).
Il a joué au printemps 2012 avec l'Orchestre philharmonique de Budapest sous la direction de Christopher Hogwood se produit régulièrement avec l'Orchestre du Festival de Budapest depuis 2008.

Plus d'information sur : assoaprc.org

Il est irréfléchi et dangereux de mettre la N-VA et Aube Dorée dans le même sac

"D’après une infographie réalisée par Arte sur la menace de partis populaires en Europe, la N-VA est aussi dangereuse pour la Belgique que les fascistes d'Aube Dorée pour la Grèce et que le dictateur Viktor Orban pour la Hongrie. Ce point de vue est dangereux et irréfléchi." La suite sur levif.be

TDF vendrait ses activités en Hongrie

"Le groupe TDF diffuseur technique pour les télévisions, radios et opérateurs d'antennes pour les opérateurs mobiles serait sur le point de céder ses activités en Hongrie à l'Etat Hongrois pour une somme avoisinant les 180 millions d'euros, selon le site CFnews." La suite sur boursorama.com

mardi 25 mars 2014

Dialogue interreligieux - Conférence en Hongrie sur les relations entre les communautés juives et chrétiennes en présence du ministre Zoltan BALOG‏

Communiqué de l'Ambassade de Hongrie en France
La Commission nationale hongroise pour l’UNESCO a organisé la semaine dernière une conférence de deux jours sur les relations entre les communautés juives et chrétiennes, intitulée « Our Common Future - Our Common Responsibility » et organisée à l’abbaye de Tihany, près du lac Balaton en Hongrie. Cet événement visait à promouvoir l’une des priorités de l’UNESCO : le dialogue interreligieux.
A cette occasion, le ministre hongrois des Ressources humaines Zoltán Balog a pris la parole et un communiqué a été publié sur le site du Gouvernement hongrois :

Minister Martonyi calls NATO membership the cornerstone of Hungary’s security

Communiqué de l'Ambassade de Hongrie en France
March 21, 2014 2:27 PM
Foreign Minister János Martonyi called NATO membership the cornerstone of Hungary's national security but added that the Alliance should place more emphasis on the principle of collective defence.
On 20 March, the Hungarian Foreign Minister addressed an Oslo ceremony marking the fifteenth anniversary of the NATO accession of Hungary, the Czech Republic and Poland. The declarations made 15 years ago about the historic importance of Euro-Atlantic integration, shared democratic values, transatlantic solidarity and Hungary's commitment are still valid, he said.
Mr. Martonyi said the important lesson to be drawn from the Ukrainian conflict was that NATO should make genuine steps to enforce its "open-doors policy". The Hungarian Foreign Minister highlighted the growing role of regional cooperation, referring to the recent session in Estonia of the Visegrad (V4), Nordic and Baltic foreign ministers. He also opened an exhibition entitled "Visegrad 1335-1991-2013" at the Hungarian embassy in Oslo.
(Ministry of Foreign Affairs)

Libéraux-démocrates proposent à la Pologne, à la Roumanie et à la Hongrie de partager l'Ukraine occidentale

"Le Parti libéral-démocrate de Russie a envoyé des messages aux autorités de Pologne, de Roumanie et de Hongrie leur proposant de partager l'Ukraine occidentale.
Selon le service de presse du parti il n'est pas question du partage direct du territoire ukrainien." La suite sur ruvr.ru

Judit Reigl au Ludwig Museum de Budapest

"Le Ludwig Museum de Budapest présente du 22 mars au 22 juin 2014 « Judit Reigl Emptiness and Ecstasy », une rétrospective consacrée à la peintre franco-hongroise.
Née en 1923 en Hongrie, Judit Reigl parvient, après maintes tentatives, à traverser le rideau de fer en 1950. Elle s’installe en France. Dès 1954, par l’intermédiaire de Simon Hantaï, elle rencontre André Breton. Elle collabore avec les surréalistes, mais ne s’attache que peu au mouvement, qu’elle juge trop cloisonné et figuratif. Judit Reigl ne recherche pas seulement le processus dévoilant l’inconsciente psyché, mais fonde sa peinture sur l’automatisme gestuel, le mouvement et l’utilisation de la toile comme réceptacle de l’énergie du geste." La suite sur artmediaagency.com

lundi 24 mars 2014

Párizsi napló par Alice Wonder

A nagy sikerű Champs-Él...izé után itt az új Alice Wonder-könyv

Előző könyvében az írónő személyes élményein át kalauzolt bennünket körbe a fények és a szerelem fővárosában. A párizsi kalandozások során betekintést nyertünk a francia kulturális szokásokba, rácsodálkoztunk az ellentétek világára, elámultunk a meghökkentő divattrenden, belekóstoltunk a gasztronómiai ínyencségekbe és bolyongtunk a hivatalok útvesztőiben.
Új könyvében is a tőle megszokott humorral és iróniával veszi górcső alá a körülötte élőket, s lendületes stílusával örökíti meg az utókor számára a franciaországi mindennapok eseményeit.
A Champs-Él...izé megjelenése óta eltelt évben sokat változott a szerzőnő élete. Mon Amour-ral elköltözött a központból Párizs kertvárosi övezetébe. Itt készül élete nagy kalandjára, hogy életet adjon gyermekének.
Ám a babavárás nem akadályozza abban, hogy  humorral és iróniával, ha kell öniróniával mutassa be a párizsi élet jellegzetes szereplőit, valamint  a szerelem városának fényeit és árnyait.
Source : aposztrof.hu

www.alicewonder.eoldal.hu

Hongrie: le parti «La chaîne de vie» en guerre contre la corruption

"La corruption, c'est l'un des enjeux des élections législatives qui auront lieu le 6 avril prochain en Hongrie. La droite populiste du Premier ministre Viktor Orban est donnée largement gagnante. Parmi la trentaine de formations politiques en lice, un petit parti, « La chaîne de vie », veut lutter contre la corruption et faire entrer des gens honnêtes au Parlement. Notre correspondante s'est rendue à un meeting de campagne du parti, à Sarbogard, dans une région agricole à 100 kilomètres de Budapest." A écouter sur rfi.fr

dimanche 23 mars 2014

Serbie : des « patrouilles linguistiques » pour contrôler l’utilisation du hongrois en Voïvodine

"Vérifier l’application du hongrois comme langue officielle dans les administrations locales en Voïvodine, ce sera la tâche des nouveaux « inspecteurs » nommés par le Conseil national hongrois de Serbie.
Le Conseil national hongrois de Serbie a décidé de former une « patrouille linguistique » qui visitera 38 collectivités locales en Voïvodine afin de s’assurer du respect des directives sur l’utilisation du hongrois comme langue officielle." La suite sur balkans.courriers.info

Échanges commerciaux arabo-hongrois : + 200 % depuis 2007

« Les relations économiques entre les pays arabes et la Hongrie se sont significativement améliorées (...) Les échanges commerciaux ont bondi d'environ 200 % entre 2007 et 2013 », a déclaré hier le président de l'Union générale des Chambres arabes de commerce (UGCC), Adnane Kassar.
« L'année dernière a enregistré un pic de l'activité commerciale arabo-hongroise ainsi que la signature de nombreux accords bilatéraux sur le plan du commerce et des investissements entre la Hongrie et de nombreux pays – dont notamment l'Arabie saoudite, le Liban, la Jordanie, les Émirats arabes unis, le Koweït, l'Algérie et le Qatar », a-t-il précisé dans un communiqué." La suite sur lorientlejour.com

samedi 22 mars 2014

Csaba Palotai : Electric Vaudeville



Un petit coup d'oeil sur le nouveau projet de Csaba Palotai
Finger pick + Free drums  
originals and transylvanian tunes
Guitar Songbook from the other side.
Electric Vaudeville:
Csaba Palotaï - gt, comp.
Joe Quitzke - drums
www.csabapalotai.com

La compagnie aérienne "Ural Airlines" ouvre un vol vers Budapest à partir de Krasnodar et de Rostov-sur-le-Don

"La compagnie aérienne "Ural Airlines" ouvre le 6 avril 2014 un vol direct entre la capital de la Hongrie et deux centres administratifs du sud de la Russie.
Comme le service de presse du transporteur l’a indiqué à "RusBusinessNews", les avions circuleront sur ces itinéraires les dimanches. Le prix du billet de Krasnodar à Budapest (aller-retour) sera à partir de 460 euros. Le prix du vol à Budapest à partir de Rostov-sur-le-Don sera à partir de 740 euros.
La compagnie aérienne "Ural Airlines" fait partie des cinq premières compagnies aériennes russes. Plus de 4,4 millions de passagers ont utilisé les services du transporteur en 2013. La base du parc de la compagnie aérienne est composée de 30 avions de ligne Airbus." Source : rusbiznews.com

83 jours, 83 buts pour Puskas

"FIFA.com suit de près le compte à rebours jusqu'à la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™ avec un fait footballistique pour chacun des 100 derniers jours avant le coup d'envoi. A J-83, nous nous intéressons à un Hongrois légendaire.
Ferenc Puskas a marqué le total incroyable de 83 buts en 84 apparitions pour la Hongrie." La suite sur fifa.com

vendredi 21 mars 2014

Commémoration hongroise de l’invasion par l’Allemagne nazie

"Alors que la Hongrie fait face à de multpiles actes antisémites, la communauté juive hongroise rend hommage aux victimes des nazis.
Plusieurs milliers de Hongrois ont commémoré mercredi avec la communauté juive (Mazsihisz), les 70 ans de l’invasion de la Hongrie par l’Allemagne nazie en 1944, lors d’une cérémonie à l’extérieur de la Grande synagogue de Budapest.
« Le 19 mars est un jour de deuil pour l’histoire hongroise et pour nous tous Hongrois », a estimé le président du Mazsihisz, Andras Heisler." La suite sur timesofisrael.com 

jeudi 20 mars 2014

Peter Eötvös, « metteur en sentiments »

"Depuis quinze ans, le Hongrois Peter Eötvös est l'un des principaux compositeurs de notre temps. Egalement chef d'orchestre, cet émule de Stockhausen et de Boulez a trouvé sa propre voie dans l'opéra. Au Printemps des arts de Monte-Carlo, dont il est l'une des têtes d'affiche, il dirigera l'Ensemble intercontemporain, dont il fut directeur musical de 1979 à 1991, avant la Cité de la musique, à Paris. Mais c'est le compositeur qui tiendra l'affiche du 20 mai au 24 mai au Théâtre de l'Athénée, à Paris, avec une nouvelle production de son opéra « cabaret », Le Balcon, d'après Jean Genet. Nous avons rencontré Peter Eötvös le 13 mars alors qu'il répétait Momente, de Stockhausen.
Vous avez 70 ans depuis le 2 janvier : quel regard portez-vous sur votre carrière ?
Je regarde ce chiffre et je suis incrédule : je n'ai jamais accordé d'attention au temps qui passe. Sauf au moment de la cinquantaine, où j'ai traversé une période très éprouvante. J'avais le sentiment que ma vie était finie. Il y a eu aussi la mort de mon fils, ici, à Paris. C'est au sortir de cet enfer que j'ai vraiment commencé à composer." La suite sur lemonde.fr (version abonnés)

mercredi 19 mars 2014

Code-barres de Krisztina Tóth

[Vonalkod]
Trad. du hongrois par Guillaume Métayer
Collection Du monde entier, Gallimard
Parution : 03-04-2014

208 pages, 140 x 205 mm
Genre : Romans et récits
Catégorie > Sous-catégorie : Littérature étrangère > Autres littératures européennes
Époque : XXIe siècle
ISBN : 9782070132225 - Gencode : 9782070132225 - Code distributeur : A13222

Source : gallimard.fr

« Pour moi, dans la poésie tout comme dans la prose, c’est de la précision inquiétante et chirurgicale que naît la beauté. »

"Conversation avec Krisztina Tóth dont le livre, Code-barres, paraîtra aux éditions Gallimard dans une traduction de Guillaume Métayer en avril 2014.
Dans sa critique parue dans la revue Holmi (juin 2007), József Keresztesi nous recommande « de refouler la question qui nous brûle les lèvres, celle de savoir si c’est une seule et même voix qui parle dans le recueil de nouvelles de Krisztina Tóth et si les quinze histoires retracent le parcours d’une seule et même personne. Certes, le livre peut être lu de cette manière, comme une série de nouvelles inspirées d’un même destin de femme : les récits de l’enfance ont pour cadre l’époque kádáriste tardive, ceux de l’adolescence se situent dans la période entourant le changement de régime [1989-1990 NDT] et ceux de l’âge adulte se déroulent postérieurement : les éléments biographiques évoqués dans ces nouvelles ne se contredisent pas de façon flagrante. Reste à savoir si tout cela nous aide à comprendre les questions centrales sous-jacentes au récit, ou si, dans la plus pure tradition du dilettantisme, cela nous empêche de distinguer l’important et l’accessoire de l’œuvre. » Je me garderai donc de vous demander dans quelle mesure ces récits sont autobiographiques, mais j’aimerais savoir pourquoi il était important pour vous d’entretenir l’illusion de leur nature autobiographique." La suite sur litteraturehongroise.fr

Film : Le grand cahier sort ce mercredi

"Le réalisateur Janos Szasz adapte le roman Le grand cahier de Agota Kristof au cinéma. Le film sort ce mercredi sur grand écran en France. À noter que le long métrage a reçu le Globe de cristal en 2013.
L’histoire du film Le grand cahier se déroule en Hongrie durant la Seconde Guerre mondiale. Deux jumeaux de 13 ans sont laissés par leur mère chez leur grand-mère. Cette dernière, une femme sèche et épouvantable n’a aucune sympathie envers ses petits-enfants. Ces derniers doivent travailler dur sur la ferme afin de survivre. Dans ce monde de cruauté et de violence, ils vont apprendre à se durcir et à se renfermer sur eux-mêmes." La suite sur actualites-news-environnement.com

 

Une station radar de l’OTAN installée en Hongrie

"Les autorités hongroises ont annoncé le déploiement sur ​​le territoire de leur pays d’un radar, qui permettrait de renforcer la sécurité de l'espace aérien hongrois.
Le système devrait être utilisé conjointement par les militaires hongrois et les forces de l'OTAN. Ce système pourra être exploité dès 2015." La suite sur ruvr.ru

Hongrie: début du procès d’un ancien dirigeant communiste pour crime de guerre

"Le procès de l’ancien dirigeant communiste hongrois Bela Biszku (92 ans), inculpé pour son rôle joué dans la répression de l’insurrection hongroise contre l’Union soviétique à l’automne 1956, a débuté à Budapest. Bela Biszku a été inculpé mi-octobre 2013, accusé de « participation active » à deux fusillades ayant causé la mort de près de 50 personnes en décembre 1956." La suite sur lesoir.be

mardi 18 mars 2014

Académie Liszt avec Giovanni Bellucci 25-27 mars Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44

Jacopo Giovannini - Elizaveta Frolova, piano
Comme chaque année, en parallèle avec les Lisztomanias de Châteauroux, se déroule au printemps, à l’Institut hongrois, partenaire du festival, une académie Liszt, dirigée par le pianiste Giovanni Bellucci. Elle a pour but d’approfondir la connaissance du compositeur hongrois.
Entrée libre

Le retour de l’Europe centrale

Par Barbara Ochotnicka
Étudiante slovaque en mobilité à l’université de Strasbourg et membre des Jeunes Européens Strasbourg

"Souvent faussement appelés les pays de l’Est, les pays de « l’ancienne Union soviétique » ou encore les pays post-communistes, les pays de l’Europe centrale, à savoir la Hongrie, la Slovaquie, la République tchèque et accessoirement la Pologne et l’Autriche, peinent à se repositionner là où ils se trouvent véritablement : au cœur de l’Europe continentale.
Plus que par l’influence soviétique qui n’a duré qu’une cinquantaine d’années, le vrai caractère de l’Europe centrale tire ses origines de l’Empire austro-hongrois des Habsbourgs. Les pays de l’ancien empire ont donc plutôt été marqué par une cohabitation de peuples différents que par l’expansion du bloc soviétique." La suite sur taurillon.org

"Le Grand cahier" : une éducation de la monstruosité

"Ce film du Hongrois Janos Szasz, producteur, scénariste et réalisateur - adapté du roman d’Agota Kristof - concourait aux Oscars pour le Meilleur film étranger. Une œuvre dure, dans sa peinture d’une éducation allant à l’encontre de toute éthique, issue d’un contexte hostile, tant environnemental que conjoncturel. Ou comment se fabriquent des monstres à l’insu de leur plein gré.
De Janos Szasz (Hongrie), avec :  András Gyémánt, László Gyémánt,, Gyöngyvér Bognár - 1h49 - Sortie : 19 mars 2014" La suite sur culturebox.francetvinfo.fr

Budapest, la Perle du Danube émerge-t-elle des eaux ?

"Après son entrée dans l’Union Européenne, Budapest a bénéficié d’un réel engouement de la part des investisseurs internationaux, qui ont largement contribué au fort développement du parc hôtelier de la ville. L’essor de l’offre a amplifié la chute des prix hôteliers dans un pays dont l’économie a ensuite été durement touchée par la crise. Le désintérêt récent des chaînes a conduit à une stabilisation du parc dans un contexte où les performances hôtelières, notamment les prix, ne reflètent pas encore la reprise attendue en Europe." La suite sur hospitality-on.com

Un cimetière juif profané en Hongrie

"Des messages antisémites et des croix gammées ont été peints sur des tombes du cimetière juif de Tatabanya, à 65 km à l'ouest de Budapest, a annoncé lundi le maire de la ville, Csaba Schmidt.
Des inconnus ont inscrit vendredi dernier à la peinture rouge sur plusieurs tombes des messages tels que "Sales juifs" ou encore "L'Holocauste n'a jamais eu lieu mais il se produira dans le futur".
Ils ont également peint des croix gammées et le symbole du parti des Croix fléchées, la formation nazie hongroise durant la Seconde Guerre mondiale." La suite sur lefigaro.fr

dimanche 16 mars 2014

Photographier en Hongrie expose à des poursuites

"Si vous prévoyez de vous rendre en vacances à Budapest, sachez qu'il faudra désormais demander l'autorisation de toutes les personnes reconnaissables que vous prendrez en photo dans les lieux publics.

En matière de photographie, comment concilier d'une part le droit à la vie privée et le droit à l'image des personnes photographiées sans leur accord, et d'autre part le droit à la liberté d'expression ou à la liberté de création artistique ?
En France, la Cour d'appel de Paris a tranché la question dans un arrêt du 5 novembre 2008, qui dit que "le droit à l'image doit céder devant la liberté d'expression chaque fois que l'exercice du premier aurait pour effet de faire arbitrairement obstacle à la liberté de recevoir ou de communiquer des idées qui s'expriment spécialement dans le travail d'un artiste, sauf dans le cas d'une publication contraire à la dignité de la personne ou revêtant pour elle des conséquences d'une particulière gravité". Le principe est la liberté du photographe, le droit du photographié n'est que l'exception." La suite sur numerama.com

Hongrie : l’opposition joue de malchance avant les élections

"L’opposition de gauche hongroise, en mauvaise posture en vue des législatives du 6 avril face à Viktor Orban, a subi un coup dur samedi en étant contrainte par les intempéries à annuler une grande mobilisation de ses partisans.
Alors qu’un vent violent soufflait à Budapest et qu’une tempête était annoncée, les organisateurs ont «décidé de ne pas prendre de risques» et ont reporté leur rassemblement au 30 mars.
La gauche espérait attirer des dizaines de milliers de personnes samedi sur l’Avenue de la Liberté de la Presse, un choix éminemment symbolique pour ce qui devait être son dernier rassemblement de grande ampleur, et au cours duquel elle voulait concentrer ses attaques sur M. Orban, le Premier ministre sortant conservateur." La suite sur liberation.fr

samedi 15 mars 2014

Une vie, une oeuvre Sandor Marai sur France Culture le samedi 29 mars 2014 de 16h à 17h

par Laetitia Le Guay
réalisation : Ghislaine David
Sandor Marai s’est imposé comme l’auteur hongrois le plus lu en France, avec des romans construits comme des thrillers, autour de secrets de famille, d’événements mystérieux du passé (Premier Amour, Les Braises, L’héritage d’Esther, les Mouettes, La Sœur). L’ascendant d’un être sur un autre, les limites du langage, l’étrangeté de soi à soi-même et au monde sont des thématiques récurrentes d’un univers romanesque aux récits implacables ; univers à la violence sourde dont la psychanalyse n’est jamais très loin.
La vie de Sandor Marai fut itinérante : européenne et quasi-vagabonde dans la jeunesse, pour fuir la Terreur Blanche de 1919 ; hongroise pendant vingt ans ; américaine et italienne après le passage de la Hongrie dans la sphère soviétique et le choix par Marai de l’exil. Au-delà des circonstances politiques, le voyage est un mode d’être pour Sandor Marai, « une appréhension sensuelle du monde », écrit-il dans son Journal, « peut-etre la seule vraie passion de ma vie».». De plus en plus solitaire et difficile matériellement, mais fertile sur le plan littéraire, l’exil mènera Marai de New York à Salerne, en Italie, puis en Californie où il se donnera la mort à 89 ans, quelques mois avant la chute du mur de Berlin.
Témoin de la disparition du monde du 19e siècle, observateur du destin d’une Europe malmenée par le fascisme puis le stalinisme, Marai médite de livre en livre (Libération, Mémoire de Hongrie, Journal), sur les totalitarismes et l’humain, dans une écriture limpide qui, au fil des années, se condense, pour devenir de plus en personnelle, fragmentaire,  poétique.
Il reste l’une des grandes voix de la Mitteleuropa, aux côtés de Stefan Zweig ou Thomas Mann qu’il admirait.

Avec la participation de :
Balázs Ablonczy, historien, directeur de l’Institut hongrois de Paris
François Giraud, auteur du blog http://sandor-marai.blogspot.com
Catherine Faye et Georges Kassai, traducteurs de Sandor Marai en français
Gabrielle Napoli, collaboratrice à la Quinzaine littéraire
Andras Kanyadi, maître de conférences à l'Inalco, qui a publié sous sa direction La Fortune littéraire de Sandor Marai (collectif), Edition des Syrtes, 2012
Daniel Rondeau, écrivain, journaliste, diplomate
Ibolya Virag, éditrice, traductrice

Source : franceculture.fr

Quatre anciens pays communistes signent un pacte militaire commun

"Quatre anciens pays communistes d'Europe centrale ont signé vendredi un pacte visant à coordonner leur stratégie de défense et créer une unité de combat commune au sein de l'Otan et de l'Union européenne, en réponse à la crise ukrainienne.
"La situation actuelle en Europe illustre que malheureusement, un conflit militaire, impensable il y a peu, pourrait avoir lieu", a déclaré le ministre polonais de la Défense, Tomasz Siemoniak, lors d'une conférence de presse à Visegrad, une ville à 40 kilomètres au nord de Budapest." La suite sur rtbf.be

"Le grand cahier" ou l'enfance aux prises avec la cruauté humaine

"Le grand cahier", en salles mercredi, est l'adaptation sur grand écran du célèbre roman éponyme de l'écrivaine suisse d'origine hongroise Agota Kristof, sur des enfants livrés à eux-mêmes pendant la Seconde guerre mondiale et confrontés à la cruauté des hommes.
Pour protéger ses jumeaux de 13 ans de la guerre qui fait rage en ville, une femme les dépose chez sa mère à la campagne, une vieille femme qu'elle n'a pas vue depuis une vingtaine d'années.
La grand mère, que tout le monde soupçonne d'avoir tué son mari, se révèle aussi méchante que sale. Pour manger et dormir à l'abri, les enfants devront travailler dur à la ferme." La suite sur tv5.org

Le loubard et le cœur tendre

« Liliom » du hongrois Ferenc Molnar, mis en scène par le bulgare Galin Stoev, au Théâtre de la Colline, où une histoire de gens ordinaires pris dans l’engrenage d’une vie qui ne l’est pas.
De « Liliom », Ferenc Molnar (1878-1952) disait : « c’est une histoire de banlieue de Budapest aussi naïve et primitive que celles qu’ont coutume de raconter les vieilles femmes de Josefstadt».  
Dans toutes les banlieues du monde, il y a des aventures de loubard et de cœur tendre. Ici le loubard, c’est Liliom (Christophe Grégoire), grande gueule et beau gosse. Il travaille dans une foire, bon à tout faire d’une maquerelle qui tient un manège (Marie-Christine Orry)." La suite sur marianne.net 

Ocsa, un «ghetto» pour Hongrois surendettés

"Au milieu de la plaine hongroise se dressent des rangées de maisons identiques construites pour des familles surendettées ayant perdu leur logement. Un projet voulu par le gouvernement conservateur de Viktor Orban qui a tourné au fiasco.
Dans le «village fantôme» ou «ghetto» d’Ocsa comme l’a qualifié la presse, il n’y a ni poste, ni école, aucune boutique. Pas un seul arbre.
«Nous avons perdu notre maison à cause de notre dette. Venir ici était notre dernière chance», témoigne Aniko Cserna, la cinquantaine." La suite sur liberation.fr

Budapest rend hommage au lieutenant Columbo

"Le Lieutenant Columbo est immortalisé à Budapest. La capitale hongroise a érigé une statue de bronze à l’effigie de l’acteur américain Peter Falk devenu célèbre pour son rôle mythique dans cette série télévisée des années 70. Le chien du lieutenant a eu droit, lui aussi, à sa statue. Peter Falk, qui est décédé en 2011, avait des origines hongroises entre autres." Source et photo sur : euronews.com

vendredi 14 mars 2014

Qui veut la peau de N'daramba? - Centre Culturel Madeleine Rebérioux à Créteil

Un procès marionnettique  joué par la Compagnie des Inachevés, dans la mise en scène de Monika Rusz  le 18 mars à 10h et le 21 mars à 14h au Centre Culturel Madeleine Rebérioux ( 27 av. F. Mitterrand M° Créteil Pointe du Lac)
Tarif unique: 10E. 
Réservation au compagniedesinacheves@orange.fr


"Je voudrais faire le procès d'un voyou-poète,d'un bon vivant rusé, d'un opportuniste, d'un ambitieux hors normes, quelqu'un  en dehors des cadres. N'Daramba comme un funambule pitoyable, mais glorieux. A la marge de la société, mais encore dedans, parce qu'il veut la changer, la dénoncer, l'améliorer. Enfin, un grand rêveur." ( extrait du journal de travail de Monika Rusz)

http://www.youtube.com/watch?v=dUhdT6Tz_9I

A bábjáték, az élö zene, a video és a szinház találkozásábol született ez az uj, afrikai ihletésü fabula, amely az itélkezésröl, a jogrol  szol  felnötteknek  és gyerekeknek egyaránt. A cél mentesiti az eszközt?
A nézök az esküdtek szerepét játszák a tárgyalás során.
rendezte: Rusz Monika

Réception diplomatique annuelle de la Hongrie à l’occasion de la Fête nationale – jeudi 13 mars 2014 au siège de l’OCDE

Communiqué de l'Ambassade de Hongrie en France
Hier soir, S.E.M. László Trócsányi, Ambassadeur de Hongrie en France, S.E.Mme Katalin Bogyay, Délégué permanent de la Hongrie auprès de l’UNESCO, et S.E.M. István Mikola, Représentant permanent de la Hongrie auprès de l’OCDE, organisaient une réception au Château de la Muette, siège de l’OCDE, à l’occasion de la Fête nationale hongroise du 15 mars.
Comme le veut la tradition de cette réception diplomatique qui se déroule chaque année à Paris, les quelques 250 convives ont eu l’occasion de découvrir les particularités et les saveurs d’une région hongroise : en l’occurrence, celles de la Grande Plaine du Nord.
Dans son discours, S.E.M. László Trócsányi a insisté sur le rôle particulièrement important de cette région au cours de la Révolution et de la Guerre d’indépendance hongroise (1848-1849), mentionnant que Debrecen était provisoirement devenue la capitale de la Hongrie lorsque le gouvernement révolutionnaire y avait établi son siège. « Ce samedi, le 15 mars, nous commémorerons le 166ème anniversaire de ces événements. Un tournant majeur de notre histoire, précédé d’une révolution constitutionnelle et qui a abouti à la formation de la Nation hongroise dans le sens moderne du terme », a-t-il déclaré.
Faisant référence aux différentes échéances électorales de 2014 en Hongrie – les élections législatives auront lieu le 6 avril, s’ensuivront celles du Parlement européen puis, en automne prochain, les municipales – M. l’Ambassadeur a rappelé que celles-ci survenaient après une période d’intenses réformes constitutionnelles, législatives et administratives. Des réformes « largement discutées en Hongrie et à travers l’Europe » mais qui commencent à porter leurs fruits, en particulier dans le domaine économique. « Au bord de la faillite financière en 2009, la Hongrie se trouve aujourd’hui économiquement stabilisée, avec des indicateurs macroéconomiques encourageants que les différentes instances de Bruxelles reconnaissent. Nous en sommes fiers, mais loin d’être satisfaits. Ils nous reste beaucoup à faire, et en particulier sur le plan social », a-t-il expliqué.
Selon lui, ces défis auxquels la Hongrie se trouve aujourd’hui confrontée « sont communément expérimentés dans plusieurs pays de l’Union ». Ceux-ci « auront un impact sur l’avenir de l’intégration européenne » et « joueront assurément un rôle de premier plan dans les élections européennes du mois de mai ». 
M. l’Ambassadeur a conclu son discours par un appel à la solidarité: « En 1848, une solidarité se créait entre l’aristocratie et le peuple hongrois pour le futur d’une nation en laquelle chacun croyait. Aujourd’hui, cette solidarité doit être européenne, et même, pour l’avenir de notre Union, transgresser les frontières et s’étendre à nos voisins de l’Est et du Sud ».

Afin de commémorer la Révolution et la Guerre d’indépendance de 1848-1849, plusieurs événements se tiendront à Paris dans les prochains jours (informations pratiques accessibles ici : http://www.parizs.balassiintezet.hu/fr/programmes/commemoration-2014/). Ce soir, vendredi 14 mars, l’Institut hongrois organisera à 19h une réception en langue hongroise. Demain, samedi 15 mars à 9h, S.E.M. László Trócsányi déposera une gerbe devant la plaque commémorative de Lajos Kossuth. A 11h, une cérémonie aura également lieu à la mémoire de Blanka Teleki.

La véritable histoire du voleur au whisky

"Dans la Hongrie post-communiste du début des années 90, qui découvre balbutiante la liberté et le capitalisme, Attila Ambrus devient célèbre en quelques mois.
Non par ses «exploits » de gardien de but réserviste d’une équipe de hochey sur glace, mais parce qu’il est l’auteur de 29 braquages de banques et bureaux de poste. Plus proche d’un Arsène Lupin que d’un Mesrine, il n’aura de cesse de ridiculiser les services de police." La suite sur lavenir.net

Les exclus vont en enfer

"Retour vers le futur pour « Liliom ». La nouvelle ­traduction de la pièce du Hongrois Ferenc Molnár, créée en 1902, déménage : langage cru d’aujourd’hui, voire un non-langage fait d’argot et de rudesse. La mise en scène de Galin Stoev tord le cou au côté mélo-fan­tastique du texte et nous projette dans un « no mans land » contemporain ­cauchemardesque.
Sur le plateau du théâtre de la Colline, un espace mixte fermé, entre foire et salle des fêtes, délimité par des murs capitonnés. Liliom, l’antihéros montera au ciel (section purgatoire), mais, ici, c’est déjà l’enfer. Univers faux de masques criards, de peluches vulgaires… Pas d’étoiles au firmament, seul le sol scintille – jonché de bâtonnets de cocktail phosphorescents." La suite sur lesechos.fr

Hongrie : Greenpeace alerte sur la dangerosité d'un réservoir de boue rouge

"Le réservoir de boue rouge d'Almasfüzitö (nord-ouest de la Hongrie) est une grave menace pour l'environnement, alerte l'ONG écologiste Greenpeace trois ans après la catastrophe écologique de Kolontar, où un réservoir similaire avait cédé.
Situé au bord du Danube à une centaine de kilomètres en amont de Budapest, "ce réservoir est un des endroits les plus dangereux de la Hongrie", a indiqué à l'AFP Gergely Simon, expert en toxicologie de Greenpeace.
En 2010, un réservoir avait cédé à Kolontar (ouest), déversant des centaines de milliers de boue rouge toxique sur les villages voisins, causant la mort de dix personnes et une catastrophe écologique de grande ampleur." La suite sur boursorama.com

jeudi 13 mars 2014

Gotlib : cinq dates-clefs à retenir

"Le célèbre dessinateur de bande dessinée est exposé, jusqu'au 27 juillet, entre les murs du Musée d'art et d'histoire du judaïsme à Paris. L'occasion de revenir sur cinq moments phares de son parcours.
...
Le 14 juillet 1934: le jour où tout a commencé
Marcel Mordekhaï Gotlieb naît dans le 18e arrondissement de Paris le 14 juillet 1934, d'une famille d'immigrés juifs hongrois. Son père Ervin était peintre en bâtiment et sa mère Régine couturière. Le petit Marcel coule des jours heureux entre les rues Ramey et Ferdinand-Flocon dans le XVIIIe arrondissement, jusqu'en septembre 1942, date où a été arrêté et déporté son père. Il ne le verra plus jamais. Gotlib est alors âgé de huit ans. La disparition subite de son père et la persécution antisémite durant l'Occupation sous-tendent quelques narrations majeures de Gotlib, parmi lesquelles La Coulpe ou Chanson aigre-douce." Extrait de lefigaro.fr

Le néonazi Loránt Hegedüs, antisémite notoire, reste pasteur protestant.

"Le néonazi Loránt Hegedüs, antisémite notoire, reste pasteur protestant. Les juges de l’Église protestante de Hongrie se sont contentés de le réprimander pour son rôle dans le scandale autour de l’installation dans le temple protestant de la Place Szabadság de Budapest d’un buste du criminel de guerre Horthy, chef d’Etat collaborationniste avec Hitler pendant la seconde guerre mondiale. Pas un mot pour demander l’enlèvement du buste du temple. Ce jugement est une grand victoire pour nous, ont proclamé ses amis néonazis." Source : notre correspondant des MH.

Source en hongrois index.hu
Voir aussi en anglais : budapestbeacon.com

Festival L’Europe autour de l’Europe Cantate (Oldás és kötés) de Miklós Jancsó 28 mars à 18h Institut hongrois

Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44 
Fiction, Hongrie, 1963, 90’, NB, VOSTF
Avec Zoltán Latinovits, Béla Barsi, Miklós Szakáts, Andor Ajtay
Ambrus est un chirurgien confronté à une opération compliquée du cœur. Mais – entouré d’amis artistes et dans une impasse amoureuse – il est en crise et ne trouve plus d’objectifs à sa vie. Il décide alors d’aller se ressourcer dans son village natal auprès de la figure charismatique de son père.
Entrée : 5€

Tunisie-Hongrie : Faire de la Tunisie une plateforme et un portail pour l’Afrique

"L’ambassadeur de Hongrie en Tunisie, Gyorgy Pantos, a souligné, mardi, l’intérêt porté par son pays aux marchés émergents comme le Maghreb et l’Afrique, mettant en exergue l’importance qu’il y a d’établir une coopération triangulaire pour faire de la Tunisie une plateforme économique régionale.
Lors d’un entretien avec le ministre des Affaires étrangères, Mongi Hamdi, le diplomate Hongrois s’est réjoui de la nouvelle dynamique des relations bilatérales après la Révolution en Tunisie, avec, en particulier, le renforcement des liens économiques et l’amorce d’une coopération dans le domaine de l’enseignement supérieur." La suite sur webmanagercenter.com

mercredi 12 mars 2014

Le restaurant Borkonyha de Budapest obtient une étoile au Guide Michelin !

Après le Costes et l'Onyx, le restaurant budapestois, Borkonyha lui aussi obtenu l'une des distinctions les plus fameuses du monde de la gastronomie.

"A Costes és az Onyx után a budapesti Borkonyha étterem is megkapta a gasztrovilág egyik legnagyobb elismerését." La suite en hongrois sur hvg.hu


http://www.borkonyha.hu/

L'Amérique de l'énergie veut tirer profit de la crise ukrainienne

"Les groupes pétroliers américains veulent exporter du gaz vers l'Europe.
Cela constituerait un formidable débouché pour le secteur.
La Russie est le premier exportateur de gaz au monde. Mais les Etats-Unis, portés par la révolution du gaz de schiste, viennent de lui ravir la place de premier producteur. La crise ukrainienne, qui a révélé la grande dépendance de l'Europe au gaz russe, constitue pour Washington une occasion inespérée de ravir des parts de marché à Moscou. Les ambassadeurs de la République tchèque, de Pologne, de Hongrie et de Slovaquie ont envoyé des courriers aux leaders du Congrès américain pour les exhorter à accélérer les exportations vers l'Europe de l'Est. Ces pays achètent de 70 % à 100 % de leur gaz à la Russie et ne seraient pas mécontents de réduire leur dépendance. A ce stade, les Etats-Unis n'exportent aucun gaz vers l'Europe. Le Congrès américain n'a d'ailleurs pas voix au chapitre : hautement stratégique, la question de savoir que faire de la production américaine est le domaine exclusif de l'administration Obama." La suite sur lesechos.fr 

Aides d’État: la Commission approuve la carte des aides à finalité régionale 2014-2020 pour la Hongrie

"Commission européenne
Communiqué de presse
Bruxelles, 11 mars 2014
Aides d'État: la Commission approuve la carte des aides à finalité régionale 2014-2020 pour la Hongrie
La Commission européenne a approuvé la carte de la Hongrie relative à l'octroi d'aides d'État à finalité régionale entre 2014 et 2020 dans le cadre des nouvelles lignes directrices concernant les aides d'État à finalité régionale (les «lignes directrices») adoptées par la Commission en juin 2013 (voir IP/13/569 ). Ces nouvelles lignes directrices établissent les conditions dans lesquelles les États membres peuvent accorder des aides d'État aux entreprises à des fins de développement régional. Elles visent à stimuler la croissance et à accroître la cohésion au sein du marché unique." La suite sur zonebourse.com

Réflexions visuelles hongroises à Poitiers jusqu'au 28 mars 2014

"Réflexions visuelles hongroises. L'artiste hongrois Miklos Fekete a élu domicile depuis quelques mois à Poitiers où il expose pour la première fois 28 de ses huiles sur toile et carton à la Galerie Rivaud.
Jusqu'au vendredi 28 mars, exposition « Réflexions visuelles hongroises » de Miklos Fekete à la Galerie Rivaud de Poitiers. Entrée libre du mardi au samedi de 14 h 15 à 18 h 15." Source : lanouvellerepublique.fr

Les Hongrois réclament l'autonomie du Pays sicule en Roumanie

"Des milliers de Hongrois s'étaient réunis lundi après-midi à la Place des Héros de Budapest pour demander l'autonomie du Pays sicule, région de Transylvanie se trouvant au centre de la Roumanie.
Arpad Gyorgy-Mozes, à la tête de l'association pour le Pays sicule, a lu une pétition et a appelé le gouvernement roumain à entamer des négociations avec les organisations prônant l'autonomie du Pays sicule et à respecter les droits humains.
Il a notamment rappelé la promesse faite par la Roumanie quant à assurer l'autonomie gouvernementale pour les minorités ethniques dans les zones où ces dernières constituent la majorité." La suite sur siwel.info

mardi 11 mars 2014

Pensées positives par Flora

Depuis quelques jours, je me sentais revivre, après de longs mois d'abattement, de deuils, des mois d'hiver où je me sens généralement en "hibernation". Je commençais à m'étirer au soleil, à m'émerveiller de la beauté des "petites choses" dont la vue est, paraît-il, capable de prolonger notre vie... de cinq ans! (question simple: comment peut-on calculer le nombre d'années qu'on aurait vécues sans, et celles que nous gagnerions ainsi?…) 
Danger! La fameuse petite voix qui m'avertit dès que je baisse la garde... Et cela n'a pas raté.
Chirac a laissé au moins une phrase célèbre contenant une vérité en béton née de l'expérience: "Les emm...des, ça vole toujours en escadrille!" Je l'ai maintes fois vérifiée.
Les mauvaises nouvelles commençaient à pleuvoir après 15 heures. La santé de plusieurs de mes amis me donne des inquiétudes. Une facture de gaz démesurée me tombe dessus comme un obus, me plongeant dans l'angoisse et le dégoût: combien de personnes, dans notre pays, n'ont même pas idée de ce genre de soucis et combien d'autres, très nombreux, ont des soucis encore plus grands?...
Pour couronner le tout, en gratouillant la terre au pied des rosiers, je tombe sur le cadavre d'une mésange... Petit corps bleu-jaune-vert chatoyant, étranglé probablement par les chats des voisins.
Il faut savoir que la vue des corps sans vie, animaux et humains, me plonge dans un effroi profond, incontrôlable: je tremble, je m'enferme et j'appelle à l'aide... Je suppose que cela vient de mon enfance. Vivants, je n'hésite pas à toucher araignée, crapaud, serpent  -  tout ce qui dégoûte le commun des mortels. Mais la vue des dépouilles me remue jusqu'au tréfonds de moi tel un cataclysme.
Ces derniers jours, je dispensais pas mal de bons conseils autour de moi sur la façon de saisir les petits bonheurs de l’existence. Histoire de pratiquer la pensée positive… Il est temps de me les appliquer.

Rozsa Millet

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