mardi 23 juillet 2013

L'art hongrois s'invite en Ardèche

Alexandre Hollan invite Éva Krajcsovics

Exposition
14 juillet - 25 août
Galerie Mirabilia, Lagorce
Informations : www.galeriemirabilia.fr | + 33 4 75 88 12 79
 
Alexandre Hollan est né à Budapest en 1933. Il vit en France depuis 1956.
« Ses travaux se répartissent selon deux saisons, deux thèmes, deux lieux. L’été, dans un mazet parmi les vignes et la garrigue, Hollan dessine des arbres, au fusain, au lavis, à l’acrylique. Lorsqu’il retourne à Paris, dans un atelier qui n’ouvre que sur le ciel, il se consacre à ce qu’il appelle, à la manière allemande des “ vies silencieuses ” : une pure présence extraite par l’aquarelle d’un alambic d’objets et de fruits assemblés en un motif. » (Jean Planche)

Éva Krajcsovics est née en 1947 à Budapest, où elle vit et travaille. Elle est l’une des figures les plus remarquables de la peinture contemporaine hongroise. Éva Krajcsovics peint à l’huile, par superposition de couches, cherchant à dissoudre la couleur dans la lumière. « La couleur initiale lui est quasi égale. Pour elle, ce n’est pas le point de départ qui compte mais la maturation : la manière dont, sous les nouvelles couches de peinture ou après effacement, naît quelque chose de nouveau, (...) la manière dont une surface vivante se crée. » (Mátyás Varga)
Entrée libre

Alexandre Hollan invite Illés Sarkantyu

Exposition
13 juillet - 25 août
Fabrique du Pont d’Aleyrac | Saint-Pierreville
Informations : mirabelbe@wanadoo.fr | + 33 4 75 66 65 25

Illés Sarkantyu voit le jour à Budapest en 1977 et s’installe à Paris en 2002.
Photographe et réalisateur, il collabore étroitement avec des artistes et des institutions culturelles. Parallèlement, il développe ses projets personnels, mêlant photographies, vidéos et textes.
Dans l’exposition de la Fabrique, Illés Sarkantyu présente des photographies en noir et blanc des objets qu’Alexandre Hollan dispose pour ses « vies silencieuses ». Avec son appareil, il développe petit à petit une distance du regard différente de celle du peintre. Dans l’infini des gris des tirages argentiques, entre la rouille d’un vieux seau et la peau d’un légume, nous percevons un monde d’étrangeté. Ce langage qui allie le montré et le caché n’est pas sans rappeler la grande richesse de la photographie hongroise. Dans une autre série intitulée « Mihály », il nous entraîne, à travers la relecture d’une photographie apparemment banale, dans une autre aventure visuelle, dérangeante et neuve.
Entrée libre

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