A travers l’enquête du vice-questeur et les récits de ceux qui côtoyaient le disparu (sa femme, un franciscain, un agent de police), se dégage un portrait complexe et paradoxal de ce réfugié au statut instable et fragile, qui jouait, sans le vouloir, le rôle d’un messie dans cette ville où, chaque année, le sang de San Gennaro (Saint Janvier) se liquéfie miraculeusement. Récit de l’exil et du déracinement, ce roman désenchanté confirme l’immense et douloureux talent de l’auteur des Braises.
mercredi 30 septembre 2009
"Le Miracle de San Gennaro" de Sándor Márai
A travers l’enquête du vice-questeur et les récits de ceux qui côtoyaient le disparu (sa femme, un franciscain, un agent de police), se dégage un portrait complexe et paradoxal de ce réfugié au statut instable et fragile, qui jouait, sans le vouloir, le rôle d’un messie dans cette ville où, chaque année, le sang de San Gennaro (Saint Janvier) se liquéfie miraculeusement. Récit de l’exil et du déracinement, ce roman désenchanté confirme l’immense et douloureux talent de l’auteur des Braises.
samedi 26 septembre 2009
Mardis hongrois de Paris : prochaine soirée le 29 septembre 2009 à la brasserie Flam's
Le numérique a encore considérablement multiplié cette pratique puisqu'il en a enlevé le coût financier.
Nombreux sont les participants des Mardis hongrois de Paris qui se sont rendus en terre magyare ces derniers mois, certains pour y retrouver la famille ou d'autres pour y passer du bon temps.
Il serait peut être intéressant de leur demander de nous rapporter un petit peu comment ils voient la Hongrie, ou le morceau de Hongrie où ils sont allés, et ensuite lors d'une soirée de projeter tous ces regards, pour y voir, cette Hongrie de chacune et chacun.
Pas le regard précis de quelques « pros », ceux-là on peut les voir dans des publications ou des expos, mais ce que Madame et Monsieur Tout le monde peut voir et montrer d'un voyage à un moment précis.
Pas que les photos de famille, où l'on ne voit que les enfants, le chat le chien, mais l'environnement, la ville, les gens. Ces moments où l'on lève la tête et que l'on regarde autour de soi, et où l'on se dit, tient c'est joli ça !
Une sélection d'une dizaine à une vingtaine d'images serait ensuite mise sur cd et données pour être mises avec d'autres et permettre une projection en fin d'automne pour une soirée, nos petits bouts de notre Hongrie à nous.
La simplicité de nos regards en complément des belles photos de tous ces prestigieux Messieurs Hongrois qui ont écrit tant de belles pages de l'Histoire de la Photo. A eux la gloire, à nous le plaisir de faire et de montrer.
Remise des photos le 29 septembre 2009 lors de la soirée des Mardis hongroisentre 10 et 20 photos maximum au format jpeg , uniquementimages de qualité au départ, elles seront mises au format projection ensuite.
Une soirée spéciale des Mardis hongrois de Paris en partenariat avec l'Institut hongrois sera ensuite organisée pour la projection.
le alain batchi
Hongrie : les Roms, une communauté marginalisée
Il est difficile de quantifier avec précision le niveau de misère dans lequel vivent ou survivent les Roms, les statistiques officielles ne prenant pas en considération l’appartenance ethnique. Pourtant, il suffit de se rendre dans l’est du pays pour constater les conditions d’existence parfois effroyables.
Certains chiffres peuvent toutefois nous éclairer sur l’étendue du problème. Un rapport de la Banque mondiale sur les Roms en Europe datant de 2003 estimait que 54,9 % des foyers roms de Hongrie n’avaient pas accès à l’eau chaude et que 34,7 % n’avaient pas du tout accès à l’eau courante, toutes les ONG travaillant sur la situation des Roms sont unanimes à considérer que celle-ci ne s’est pas améliorée depuis, bien au contraire. En 2007, le taux de chômage des Roms était estimé à 60 %, alors que pour cette même année le taux national était de 7,2 %." La suite de l'article dans humanite.fr du 25 septembre 2009
vendredi 25 septembre 2009
Connaissance des langues : les Français parmi les derniers de la classe... loin cependant derrière les Hongrois
jeudi 24 septembre 2009
"Petit éloge des petites filles" d'Eva Almássy - Soirée des Mardis hongrois du 13 octobre 2009
Peut-être vous laisserez-vous tenter par le dernier livre d'Eva Almássy où il est aussi (un peu beaucoup) question de Hongrie (celle de son enfance).
L'essai sur les petites filles est suivi d'entretiens avec Geneviève Brisac, Martine Bresner, Eric Angelini, Raphaëlle Molinier et Livia Javor.
Quatrième de couverture
Petit éloge des petites fillesÂge Taille Poids/poitrine-taille-hanches
2 ans 86 cm 12 kg
3 ans 94 cm 14 kg
4 ans 102 cm 15,5 kg
5-6 ans 105-116 cm 60-54-66
7 ans 117-122 cm 62-55-68
8 ans 123-128 cm 64-56-70
9 ans 129-134 cm 67-57-73
10 ans 135-140 cm 70-58-76
11-12 ans 141-152 cm 76-60-83
Source : tailles catalogue par correspondance
Que savent les petites filles que l'on ne sait pas ? Ce qui revient à se demander ce que l'on sait d'elles, un beau paradoxe.
- Gallimard , Paris
- collection Folio 2 euros , numéro 4953
- Parution : septembre 2009
- Quelques livres du même auteur chez decitre.fr
- Eva Almássy et Livia Jávor seront les invitées des Mardis hongrois de Paris le 13 octobre 2009 pour une discussion autour de la figure de la petite fille dans les arts et dans la société. Livia Javor est psychanalyste et conférencière, spécialiste de Ferenczi. Elle a contribué au Petit éloge qui se termine par son texte.
Brasserie Flam's, 62, rue des Lombards 75001 Paris Métro Châtelet Les Halles
mercredi 23 septembre 2009
Ouvre boîtes le 26 septembre - Artistes hongrois - Oeuvres d'art offertes!!
Regards croisés sur la jeune scène artistique européenne
La Biennale JCE de Montrouge, à la Fabrique
26 septembre > 25 octobre 2009
La Biennale JCE (Jeune Création Européenne), c’est :
· 9 pays : l’Autriche, l’Espagne, la France, la Hongrie, l’Italie, la Lituanie, la Pologne, le Portugal et la Slovaquie.
· 9 commissaires en prise directe avec la jeune création contemporaine
· 90 artistes émergents qui font leurs premiers pas sur la scène internationale. L’un d’eux recevra le „Grand Prix JCE“.
En 2007, c’est Marie-Odile Hubert qui avait gagné le Grand Prix JCE pour son projet photographique „Paris-Melun, au retour“, ce qui lui permet d’exposer 5 oeuvres tout au long de l’édition 2009-2011. Née en 1978, cette artiste parisienne autodidacte a appris à manier l’objectif hors des écoles d’art. „En donnant de la visibilité à mon travail, la Biennale JCE a été un véritable tremplin pour moi. Elle m’a aussi permis de rencontrer d’autres artistes ayant des sensibilités similaires, créant des occasions de collaborations fructueuses“
Pour sa deuxième édition, la Biennale JCE 2009-2011 témoigne des dernières tendances de l’art contemporain en réunissant les travaux de 90 artistes.
Parmi ceux-ci :
HONGRIE / Sári STENCZER – Critique d’art, curatrice indépendante, elle collabore avec l’Institut Hongrois de Paris, présente :
· Albert Ádám
· Tamás Budha – Andras Tábori
· Csiki - Emese
· Hübler János Mihály – Rácz Márta – Szentirmai Tamás – Vági János
· András Kiss
· Kudász Gábor Arion
· Anna Lénárd
· Papp Réka Kinga
· Steiner Balázs Miklós
· Eszter Szabó
NE MANQUEZ PAS LES RENDEZ-VOUS DE LA BIENNALE JCE DE MONTROUGE –
Vendredi 25 septembre à 19h : vernissage
Vendredi 9 octobre à 16h : table-ronde sur le statut de l’artiste émergent en Europe, animée par Philippe Régnier, rédacteur en chef du Journal des Arts. Il sera entouré de professionnels du monde de l’art.
Samedi 17 octobre, 17h30 : vente aux enchères publiques sans frais d’oeuvres d’artistes émergents du 54ème Salon de Montrouge.
Commissaire priseur habilité : Maître Cornette de Saint-Cyr.
« La Fabrique » 26 sept. > 25 oct. 09 Tous les jours de 10h à 20h
51, avenue Jean Jaurès
92120 Montrouge Entrée libre
Comment y accéder ?
Métro : ligne 4 Porte d’Orléans et ligne 13 Châtillon-Montrouge
Bus : 68, arrêt Place des Etats-Unis
Vélib : 2 stations à proximité Jean Jaurès et Mairie de Montrouge
www.ville-montrouge.fr et: www.jceforum.eu
Contacts presse : Communication Culture - 227 bd Raspail – 75014 Paris
Sylvia Beder – Marina David – Romane Dargent
T : 01 42 18 09 42 – F : 01 43 21 18 95 – www.sylviabeder.com
Visuels disponibles sur demande : communication@sylviabeder.com
"Journées Hongroises en Rhône-Alpes" du mercredi 23 au dimanche 27 septembre 2009
AM
JOURNÉES HONGROISES EN RHÔNE-ALPES
Du mercredi 23 au dimanche 27 septembre, dans divers lieux de l’agglomération.
Une fille a "vendu" son père comme "esclave" à une famille rom
L'affaire a été découverte en marge d'une enquête administrative ouverte par la fille elle-même pour obtenir la tutelle de son père afin de pouvoir vendre la voiture de ce dernier, selon Zoltan Szebelledi, le maire de cette commune à 220 km au sud de Budapest." La suite de l'article sur letelegramme.com
«nulle part» c'était la Hongrie
On se gardait bien de préciser que «nulle part», c'était la Hongrie dont les parents Sarkozy sont originaires, mais l'allusion n'était pas très fine. Alors que la guerre faisait rage donc, éclate l'affaire."... Extrait d'un article paru dans le tempsdz.com
lundi 21 septembre 2009
Une semaine arc-en-ciel
dimanche 20 septembre 2009
Vigh-Brühl-Bass trio le samedi 3 octobre à 20 h 30 chez Polska
Chez Polska 7 rue de Mont Louis
75011 PARIS 01 43 73 42 67
Métro : Philippe Auguste / Bus 69
Réservations : polskapolska@free.fr
Paf 5€ verre de vin offert
http://www.polskapolska.com/
Pecs, en Hongrie, se prépare à devenir capitale européenne de la Culture
samedi 19 septembre 2009
Le blog de Flora
On y trouve par exemple Márai, Pilinszky et un extrait du journal de Radnóti qui m'a beaucoup touché, Lörincz Szabó, Ady, Kosztolányi, Attila József, et d'autres...
http://flora.over-blog.org/
jeudi 17 septembre 2009
Un surréaliste hongrois à Montmartre
"Les plus belles œuvres du surréaliste Endre Rozsda – dont certaines n’avaient jamais été exposées – sont présentées à Paris, dans l’atelier du Bateau-Lavoir, jusqu’au 26 septembre 2009.
Européen dans l’âme, le peintre surréaliste hongrois Endre Rozsda avait fondé, en 1945, l’École européenne à Budapest, un mouvement d’artistes et de philosophes fascinés par Paris. Et c’est dans la capitale française qu’il avait trouvé refuge en 1957, fuyant la Hongrie communiste. Séduits par son talent, André Breton et sa femme avaient aussitôt organisé une exposition de ses œuvres." La suite de l'article de Florence La Bruyère sur leuropeen-wab.eu
"Mon père s'appelle Zoltán" - Un film d’Agnès Szabó à l'Institut hongrois de Paris le 6 octobre 2009
Pouvait-on rêver plus bel hommage d'une fille à son père ?
Au moment de débuter sa carrière professionnelle dans un métier fait d'images et de sons, Agnès a décidé de dédier son travail de fin d'études à cet homme remarquable, à ce père réel-imaginaire.
Les Mardis hongrois de Paris et l'Institut hongrois de Paris ont souhaité s'associer à cet hommage en présentant le film d'Agnès Szabó le mardi 6 octobre 2009 en soirée dans la salle de l'Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Biographie de Zoltán Szabó
Zoltán Szabó commence à écrire en 1936, avec Tardi Helyzet (La situation à Tard) il évoque la vie d’un village au Nord de la Hongrie. En 1938, Cifra Nyomorusag (Misère avec panache) est le fruit de la même démarche à l’échelle d’un département entier.
De 1939 jusqu’en juin 1940 (date où le journal est censuré) il tient la rubrique « Szellemi Honvédelem » (Défense nationale spirituelle) du quotidien progressiste Magyar Nemzet.
Il espère susciter une prise de conscience intellectuelle qui pourrait se sublimer en un redressement national collectif.
Le journal interdit, il profite d’une bourse universitaire pour se rendre à Paris. Là, il est le témoin de l’événement historique de la grande « débâcle » qu’il décrit dans l’Effondrement, journal de Paris à Nice (10 mai 1940-23 août 1940), traduit en français en 2003 aux éditions Exils.
Puis de retour en Hongrie, il écrit Szerelmes Földrajz (Géographie amoureuse) (1942), où l’auteur effectue une promenade dans le pays accompagné de ses poètes préférés, ayant recours au paysage, au passé et à la littérature face à l’hitlérisme. Sous l’occupation allemande, il entre dans la clandestinité. À la fin de la guerre, il retourne à Paris en 1946, en tant que correspondant de presse, à l’occasion de la conférence préparatoire à la Conférence de paix. Un an plus tard, il revient comme attaché culturel de la légation de Hongrie à Paris. En novembre 1948, il voit pour la dernière fois son pays. Il démissionne de son poste en 1949, en signe de protestation au stalinisme qui s’installe en Hongrie. Il part alors vivre à Londres et devient correspondant culturel pour Radio Free Europe et poursuit son travail d’écriture. En 1956, il accueille toute une génération d’étudiants et d’intellectuels ayant fui le pays suite à l’écrasement de la révolution. En 1980, il quitte l’Angleterre et retourne vivre en France. Il finit ses jours en Bretagne en 1984.
La Femis
Créée en 1986, La Fémis est une école publique dépendant du Ministère de la Culture et de la Communication. Son président est Claude Miller et son directeur Marc Nicolas.
École nationale supérieure, elle pourvoit un cursus de quatre années (une année d’enseignement général, départementalisation des élèves pendant les deux années suivantes, une quatrième année dédiée à un travail personnel et/ou un film de fin d’études).
L’enseignement est partagé entre sept départements (scénario, réalisation, production, montage, son, image et décors)
Les cours sont assurés par plus de 500 professionnels qui supervisent le travail produit par les élèves sous la direction des directeurs de département qui sont tous des professionnels du milieu.
Ainsi, La Fémis produit environ 100 films par an (tous formats du 35 mm à la HD) projetés dans plus d’une centaine de festivals français et internationaux (Cannes, Cinéfondation, Quinzaine des Réalisateurs, Festival International du Court-Métrage de Clermont Ferrand, Festival International de San Sebastian, Venise Film Festival….).
L’équipe
Agnès Szabó - Réalisation et montage son
Cyrille Blandin, David Kremer et Thomas Favel - Cadreurs
Elsa Diringer, Hélène Thabouret, David Kremer - Prise de son
Flore Guillet, Marie-Jo Nenert, Selma Zghidi - Montage Image
Maxime Champesme - Mixage
Partenaires
La Bibliothèque Nationale de Hongrie
La Mairie de Budapest
L’Institut Français de Londres
L’institut Français de Budapest
La Mairie de Josselin
Le Comité de Jumelage du pays de Josselin
L’Académie Évangélique Hongroise en Europe (EPMSz)
A propos de Zoltán Szabó lire aussi l'article paru le Blog des Mardis hongrois de Paris
mercredi 16 septembre 2009
Soirée du 15 septembre des Mardis hongrois de Paris qui fêtaient leurs 6 ans d'existence : encore des photos
Courts-métrages d'animation hongrois à l'Institut hongrois de Paris - Révélations hongroises sur les toits de Paris vendredi 18 septembre 2009
L’Institut hongrois de Paris présente en partenariat avec Révélations hongroises un programme de 9 courts métrages (durée 1 h 13) d’animation de jeunes cinéastes hongrois dans le cadre de « Silent cinéma », le concept des beaux jours de l’Institut ! Ce sont des projections de films sur les toits du bâtiment à la tombée de la nuit.
La projection sera précédée d’une présentation par Jean-Philippe Salvadori et suivi d’une discussion avec le public et d'un buffet.
Participation aux frais : 5 €
Réservation obligatoire.
Billeterie et réservation : accueil@instituthongrois.fr
Renseignements sur les films et sur le programme : films@revelationshongroises.
Je vous dis à toutes et à tous : à vendredi !
Au plaisir de nous voir, de voir les films, de boire un verre ensemble et puis de compter les étoiles dans le ciel de Paris !
http://jpsalvadori.free.fr/
http://www.instituthongrois.
Jean-Philippe Salvadori
Révélations hongroises
http://www.
Un lieu chargé d'histoire de Ravaillac, en passant par Azuquita et la Salsa à Paris jusqu'aux Mardis hongrois de Paris
"Il y a au 62 de la rue des Lombards (actuel restaurant Flams) une chapelle souterraine chargée d’histoire. Elle a été construite au XIIIe siècle, par le puissant ordre des Templiers, dans le but d’en faire un site d’échanges financiers et commerciaux. Elle a également servie de cachette temporaire à Ravaillac avant de se faire arrêter pour l’assassinat d’Henri IV au 13 rue de la Ferronnerie, rue parallèle à la rue des Lombards. Pendant la Révolution enfin, la chapelle aurait servie de lieu de rassemblement pour des messes secrètes du clergé.
Au 47 puis au 57 était établi, à l'enseigne « La Renommée », la confiserie de Nicolas Appert, qui inventa dans ses ateliers en 1795 le procédé de conservation des aliments par la chaleur en récipient hermétiquement clos.
Elle permet de rejoindre la rue Sainte-Opportune depuis le boulevard de Sébastopol. Autrement dit, elle permet de rejoindre le cœur du quartier de Châtelet les Halles. Tout comme le quartier où elle se situe, la rue est extrêmement animée et hétéroclite : on y trouve aussi des bars, des bars à chicha (disparus depuis les lois anti-tabac), des clubs de jazz, des pubs anglo-saxons et des magasins de vêtements et de restauration rapide.
La rue des Lombards est une rue mythique pour les musiciens de jazz, de par la présence des plus importants clubs de jazz parisiens : le Sunset-Sunside, le Baiser Salé, le Duc des Lombards." Source Wikipédia
Anecdote amusante : Alain l'un des piliers, non pas de la Chapelle mais des Mardis hongrois, m'a fait observer hier soir avant d'arriver à notre soirée, la présence d'une plaque au 13 rue de la Ferronnerie indiquant le lieu de l'assassinat d'Henri IV. Cette plaque, bien que je sois passé par là des milliers de fois, je ne l'avais jamais vue car il fallait lever un peu les yeux pour l'apercevoir.
La salsa à Paris
"Après avoir été la pointe de piment qui donne de la flamme à la variété française, la salsa revient en force, avec l’émergence de lieux alternatifs. En 1979, elle trouve la place qu’elle mérite à la Chapelle des Lombards, ouverte par Jean-Luc et Nicole Fraisse au 62, rue des Lombards à Paris. Ce club, soutenu par une bande d’afficionados (notamment Rémy Kolpa-Kopoul, de "Libération", et des animateurs de Radio Nova), programme de la salsa. Avec l’aide, aussi, de Pierre Goldman (frère de Jean-Jacques). "Pierre s’était rendu à Cuba pendant la Révolution et a eu un coup de foudre pour la musique afro-cubaine, précise Ernesto Tito Puentes. Par la suite, c’est lui qui a fait venir la première fois Azuquita à Paris. Pour accompagner Azuquita, un groupe a été monté, auquel j’ai participé". Azuquita et son "jus de canne à sucre" (y su Melao) font un tabac. Le chanteur, invité pour une semaine à la Chape lle des Lombards, y jouera pendant un an de suite." Source l'Humanité du 15 janvier 2000
6 ème anniversaire des Mardis hongrois de Paris : les premières images
mardi 15 septembre 2009
Le pays du goulasch fait ses premiers pas en gastronomie fine
"La Hongrie, connue dans le monde entier comme le pays du goulasch, tente depuis peu sa chance dans un genre nouveau, la gastronomie fine, grâce à un groupe de chefs innovateurs mais qui ont surtout trouvé l'inspiration à l'étranger.
"Il y a un fossé géant entre où nous nous trouvons et où nous croyons être en matière de cuisine", explique Tamas B. Molnar, directeur de l'Association hongroise gastronomique (MGT), un groupe de chefs, de critiques gastronomiques et de vedettes décidés à réformer profondément la culture gastronomique magyare." La suite de l'article sur portalangop.co
N'empêche... fine ou pas moi j'adorrrrre la cuisine hongroise le paprikás csirke et le gulyás leves.
lundi 14 septembre 2009
L'armée du crime : demain mardi à Montbéliard et dès mercredi 16 septembre à Paris
À cette occasion, le film « L’armée du crime » sera projeté en avant-première. La séance sera suivie par un pot de rentrée.
Il s’agit du nouveau film de Robert Guédiguian, le réalisateur de « Marius et Jeannette » et du « Promeneur du Champ de Mars ».
« L’armée du crime » retrace l’histoire du Groupe Manouchian. Dans le Paris occupé par les Allemands, l’ouvrier Missak Manouchian prend la tête d’un groupe de très jeunes Hongrois, Polonais, Roumains, Espagnols, Italiens, Arméniens, déterminés à combattre pour libérer la France qu’ils aiment, celle des Droits de l’Homme. Ils vont commettre des attentats contre les nazis et subiront les représailles de la police de Vichy.
À VOIR Demain mardi à Montbéliard. À 20 h 15, au cinéma Le Colisée (4 €).
Source lalsace.fr
dimanche 13 septembre 2009
Pique-nique paneuropéen - Défilé de Trabants au jardin du Luxembourg le 12 septembre 2009
Trabantfelvonulással emlékeztek Párizsban az 1989-es magyar határnyitásra
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