vendredi 2 mai 2008

La gauche hongroise torpillée, un article de Florence La Bruyère dans l'Express

Avec l'arme du référendum, la droite a porté un coup fatal au plan d'austérité du Premier ministre socialiste, Ferenc Gyurcsany. Et à son gouvernement, désormais minoritaire. Après le départ ce mercredi des trois ministres libéraux du gouvernement de coalition de centre-gauche, le Premier ministre a déjà présenté son nouveau cabinet, en exercice à partir de ce jeudi 1er mai.
La suite de l'article de Florence La Bruyère paru dans l'Express du 30 avril 2008

La politique hongroise est un peu complexe pour un observateur français.
Mon commentaire : le terme de "gauche hongroise" devrait être modéré par "Gauche hongroise menant une politique de droite". Paradoxalement, la droite populiste, flirtant avec les groupes d'extrême droite enfourche des thèmes qui devraient être portés par la gauche, comme gratuité de la santé et de l'instruction.
Le terme "réforme" tout comme en France est utilisé en lieu et place de contre-réforme.
Nous sommes complètement dans le novlangue*. Réforme, selon le Petit Larousse : Changement opéré en vue d'une amélioration.
Or ces pseudos-réformes en Hongrie comme en France n'apportent, à ma connaissance, aucune amélioration à la population bien au contraire.


* Wikipédia : Le novlangue (newspeak en anglais) est la langue officielle de l’Océania inventée par George Orwell pour son roman 1984 (publié en 1949). Il est une simplification lexicale et syntaxique de la langue destinée à rendre impossible l’expression des idées subversives et à éviter toute formulation de critique (et même la seule « idée » de critique) de l’État. S’opposant à l’ancilangue, « langue ancienne ».

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